Introduction aux principes de la médecine moderne

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Avez-vous parfois le sentiment que vous étiez mieux avant de commencer une nouvelle pilule ?
Environ 9,6 millions d’Américains âgés subissent des effets secondaires négatifs de leurs médicaments chaque année. Des effets secondaires connus sont traitées comme si ils étaient de nouvelles maladies et des médicaments supplémentaires sont prescrits pour traiter les effets secondaires au lieu d’essayer de les prévenir.

Plus de deux millions d’Américains sont envoyés à l’hôpital ou gravement blessés par des effets secondaires de chaque année. En fait, avec plus de 100.000 décès chaque année, les réactions indésirables aux médicaments sont une des principales causes de décès aux États-Unis – et bon nombre de ces cas sont évitables !

Les médicaments induisent des troubles cognitifs:Partie1 et Partie2
La démence et les délires induits par les médicaments sont généralement attribuées à tort à la maladie médicale sous-jacente ou simplement à la «vieillesse». Mais les patients (et même leurs médecins!) pourraient ne pas savoir que par l’arrêt ou la modification de la posologie de nombreux médicaments fréquemment prescrits, la plupart des patients peuvent être restaurés à un état pré-drogue de la fonction mentale.

professeur Philippe Even
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.«L’une des lois tacites de la médecine moderne est de prescrire rapidement un nouveau médicament avant que tous ses effets secondaires apparaissent à la surface » 

“une maladie pour chaque molécule fabriquée.”

« Ils (l’ industrie pharmaceutique) vous vendent des médicaments dangereux pour gagner de l’argent. Rien d’autre. Si vous pensez que l’ industrie pharmaceutique met des médicaments sur le marché pour vous aider – vous vous trompez lourdement! »

« Les médicaments mis sur le marché sont, d’une façon ou d’une autre, de la fausse monnaie. Le médecin qui prescrit ne sait pas forcément ce qu’il fait. La raison? Les décideurs du système de santé se laissent en grand nombre corrompre par les groupes pharmaceutiques ». Pour Marcia Angell, médecin et ancienne membre de la rédaction en chef du New England journal of Medecine, « Il n’est plus possible de croire les recherches publiées, ni de se fier au jugement de son médecin de famille »

« La France détient le record du monde pour les décès dus aux médicaments, »

professeur Peter C. Gøtzsch
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..« L’industrie pharmaceutique a infiltré et corrompu tous les systèmes de santé publique dans le monde à tous les niveaux : médecins, instituts de recherche, publications scientifiques prestigieuses de même que les agences gouvernementales comme la FDA. Très peu de gens tirent avantage des médicaments qu’ils consomment. En fait, les médicaments seraient la troisième cause de décès dans les pays riches…Pour sortir de cette situation intenable, il faudrait rien de moins qu’une révolution : abolition des brevets en pharmacie; interdiction de tout marketing et de toute recherche clinique à l’industrie ; disqualification systématique de tout expert ayant un conflit d’intérêts, qu’il soit financier ou simplement intellectuel. Notre système de santé serait donc menacé non pas par le vieillissement de la population, mais bien par l’explosion de la pharmaceutique. »

professeur Turcotte fernand

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Dr. Rath
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200.000 morts par an en Europe par les médicaments ! (déclarés)
Mais « Les différents pays européens ne remontent qu’1 à 10% des cas. » soitenviron 4 000 000 morts par an, en Europe par les médicaments (si 5% sont déclarés) ?

professeur Gotzsche peter
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.« la médecine est devenue folle » (ARTE télé)

les autres émissions, reportages, vidéos, sur les médicaments, la médecine et surtout les escroqueries, a ne pas manquer :
Pharma – Le Cartel criminel de la «Santé» partie 1 et partie 2

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Principes des addictions psychiatriques et négationnisme des médecins

Principes des addictions psychiatriques
11. Les médecins qui prescrivent des interventions biopsychiatriques ont en général une estimation irréaliste des risques et des bénéfices du traitement.
Les interventions biopsychiatriques sont fondées sur le principe du “désemparement et déni iatrogènes” (iatrogenic helplessness and denial, IHAD). Il se réfère au mécanisme qui fait que le patient perd, par la façon dont le traitement est appliqué et par l’effet chimique ou neurologique du traitement, toute capacité d’évaluation de ses réactions, du handicap créé par le traitement, et des assertions du médecin. « Le psychiatre biologique utilise des techniques connues d’autorité et impose des traitements destructeurs du SNC pour obtenir un désarroi et une dépendance accrus du patient. »
La IHAD implique le déni de la part et du médecin et de la part du patient des dommages créés par le traitement, tout autant que des réels troubles psychologiques et contextuels présents. La IHAD rend compte de la fréquence avec laquelle les traitements par techniques destructrices du cerveau sont utilisés en psychiatrie: électrochocs, psychochirurgie, et médication toxique. Le fait que le traitement détruit des fonctions cérébrales amène la soumission du patient par le biais de la perte de fonctions essentielles telles que la vitalité, la volonté et le raisonnement. Le déni vise non seulement la destruction des fonctions essentielles chez le patient, mais aussi le fait que ses problèmes psychologiques continuent. Ce déni est assorti de confabulation [procédé commun à toutes les addictions avec produit. [le déni est un procédé de défense archaïque (stade oral-anal)]].
Traitement biopsychiatrique = création d’un dommage cérébral plus ou moins permanent et irréversible…
Les médicaments utilisés en psychiatrie nous font plus de mal que de bien
Les symptômes de sevrage sont souvent diagnostiquée à tort comme un retour de la maladie ou le début d’une nouvelle, pour lesquelles les médicaments sont alors prescrits. Au fil du temps, cela conduit à une augmentation du nombre d’utilisateurs de toxicomanes, à long terme
Mythe 1: Votre maladie est causée par un déséquilibre chimique dans le cerveau
C’est ce qui est dit a la plupart des patiens, mais c’est complètement faux. Nous n’avons aucune idée de ce qui interaction des conditions psychosociales, les processus biochimiques, les récepteurs et des voies nerveuses qui conduisent à des troubles mentaux et les théories que les patients atteints de dépression n’ont pas la sérotonine et que les patients atteints de schizophrénie ont trop de dopamine ont longtemps été réfuté. La vérité est tout le contraire. Il n’y a pas déséquilibre chimique pour commencer, mais quand traiter la maladie mentale avec des médicaments, nous créons un déséquilibre chimique, une condition artificielle que le cerveau tente de contrer.
psychrights
« Le but du système public de santé mentale est de créer une classe énorme de malades mentaux chroniques en les forçant à prendre des médicaments inefficaces, mais extrêmement dangereux . »

psychiatrie mortelle et déni organisé grand forma

SMT Gotzsche

Les médicaments psychiatriques sont beaucoup plus dangereux que vous ne l’avez jamais imaginé !
Vous pouvez afficher les sous-titres en français. Appuyez sur lecture, cliquez sur afficher les sous titres. Une fois les sous titres affichés (en anglais), il faut aller dans l’autre commande (a coté de sous titre), Puis, cliquer sur sous titre, Puis sur traduire automatiquement, puis en français.
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amphétamines, amphétamines cachées et médicaments aux effets stimulants analogues aux amphétamines…

Mediator (Benfluorex), antidépresseur survector (amineptine), antidépresseur effexor(venlafaxine), antidépresseur déroxat (paroxetine), antidépresseur stablon (tianeptine), isoméride, zyban (buprorprion, antidépresseur wellburtin), ritaline (méthylphénidate), antidépresseur serzone (nefazodone), Cledial (medifoxamine), antidépresseur Athymil (mianserine), cocaïne, antidépresseur Ixel (milnacipran), antidépresseur zoloft (sertraline), Sibutral (sibutramine), pervitine (méthamphétamine), benzédrine, pondéral, modiodal (moldafinil), olmifon, éphédrine, antidépresseur cymbalta (duloxétine) …

(interdit)

« Presque tous les antidépresseurs, y compris les ISRS et les tricycliques ont des effets stimulants analogues aux amphétamines »

« Effets Principaux : stimulants principalement, similaires à ceux des amphétamines , aggravant les Symptômes de la dépression«    professeur breggin

« L’effet des antidépresseurs peut se rapprocher de celui de l’ecstasy qui provoque le relâchement de grandes quantités de sérotonine aux terminaisons nerveuses des neurones »
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antidépresseurs : « Toutefois, nous maintenons que les effets positifs que les patients rapportent proviennent de l’effet stimulant, semblable à l’amphétamine, la nature de ces médicaments psychotropes.

extrait du livre noir du médicament : Les antidépresseurs de la famille du Prozac peuvent-ils provoquer les mêmes effets secondaires que le Mediator sur le coeur et les poumons? […] Un pharmacologue de l’Inserm nous avoue ne pas avoir de données de pharmacovigilance pouvant indiquer des effets secondaires similaires, mais il nous confie que les deux médicaments ont les mêmes mécanismes. Il était donc, selon lui, absurde de prescrire du Mediator à quelqu’un qui prenait du Prozac car les doses ne pouvaient que se cumuler.

Amphétamines : Ces  produits s’avèrent  très dangereux pour les personnes souffrant de dépression, de  problèmes cardiovasculaires et d’épilepsie.

Ne jamais stopper ces drogues très très addictives brusquement !!!!

http://sevragead.sosblog.fr )

Les antidépresseurs sont d’autre part : 

« Reconnus pour être similaire à des neuroleptiques (anti-psychotiques) ils induisent les mêmes effets secondaires. »

Dans son livre Psychiatric Drugs: Hazards to the Brain(Médicaments Psychiatriques: Dangers pour le cerveau), le Dr. Breggin appelle les soi-disant antidépresseurs « Des neuroleptiques déguisés » (p. 166).

Richard Abrams, M.D., professeur de psychiatrie, a mis en évidence que « Les antidépresseurs tri-cycliques sont chimiquement des modifications mineures de la chlorpromazine [Largatil] et furent introduits comme des neuroleptiques potentiels » (in: B. Wolman, The Therapist’s Handbook (Le manuel du thérapeute), op. cit., p. 31).

« La dexfenfluramine, commercialisée par les laboratoires Servier sous le nom d’Isoméride ou de Redux, est une substance… qui agit directement sur les récepteurs sérotoninergiques du système nerveux central. »

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antidépresseurs

La cocaïne agit en bloquant la recapture de certains neurotransmetteurs comme la dopamine, la noradrénaline et la sérotonine.
Principes des addictions psychiatriques (Toxic psychiatry)
L’effet des antidépresseurs peut se rapprocher de celui de l’ecstasy qui provoque le relâchement de grandes quantités de sérotonine aux terminaisons nerveuses des neurones
«effets similaires de la fluoxétine à ceux de la cocaïne sur la sérotonine» »
Les victimes d’un syndrôme de sevrage aux antidépresseurs sont environ : 78% pour effexor, 66% pour le déroxat / séroxat / paxil, 60% pour le zoloft et 55% pour les IMAO
mais très dangereux !
conseils pour un bon sevrage
pour les activistes vidtimes d’effexor et leurs soutients
potentiellement mortel
il ne touche qu’un faible pourcentage de victimes mais peut durer des mois voir des années
Il s’agit d’un antidépresseur proche des amphétamines, inhibiteur du recaptage de la dopamine et de la noradrénaline
Pour comprendre ce qui s’est passé de nouveau en 1952, il faut s’intéresser à un second médicament mis sur le marché trois ans plus tard : l’imipramine, premier antidépresseur. C’est le second qui donne la clef du premier. Ce qui étonne les chimistes, c’est la proximité structurale de la molécule d’imipramine avec celle de chlorpromazine alors que les effets comportementaux sont extrêmement différents, voire opposés. Le laboratoire à l’origine de ce premier antidépresseur tricyclique avait d’ailleurs l’intention de créer un concurrent du premier neuroleptique et la nouvelle molécule sera testée, évidemment sans succès, en tant que « tranquillisant majeur » dans la schizophrénie. On a cherché à faire un « me-too » et on a créé un psychotrope très différent qui aura du mal à convaincre pendant plusieurs mois les services de marketing du laboratoire
SMT Healy ET STOP
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Les dangers de la ritaline (Méthylphénidate) (Ritalina®, Rilatine®, Ritalin LA®), Concerta LP®, Attenta®, Metadate®, Methylin®

Récemment, dans un avis sur les toxicomanies, le Comité Consultatif National d’Éthique (CCNE) français pour les sciences de la vie et de la santé soulignait que « la distinction entre les drogues licites  et les drogues illicites ne repose sur aucune base scientifique cohérente » (Rapports sur les toxicomanies, 1995, p. 3). Par exemple, sur le plan neuropharmacologique, le mode d’action d’une drogue illicite, comme la cocaïne, et celui d’une drogue licite (sous usage médical), comme le méthylphénidate (Ritalin), est presque identique (Volkow et al., 1995).
Ce produit entraîne une accoutumance masquée et une dépendance physique
« Cette drogue est une catastrophe nationale »
« Les dommages à l’esprit et au corps peut entraîner des effets indésirables causés par le prescritions du médecin pour TDA et le THADA… »
Ceux qui avaient pris des drogues stimulantes (par exemple, les amphétamines) étaient 7,4 fois plus susceptibles de mourir d’un arrêt cardiaque (mort subite) que ceux ne prenant pas des stimulants
ritaline, TDAH…Neurologue, en 35 ans de pratique privée, je me suis trouvé incapable de valider le TDAH, quel que soit le nom, comme une maladie en soi
la ritaline a le même profil de dépendance que la cocaïne
Articles sur les questions relatives aux enfants
Comment la psychiatrie fabrique des « patients » à partir d’enfants normaux
C’est un holocauste national
21 CAS DES TENTATIVES DE SUICIDE ET 6 SUICIDES « – L’ AGENCE DU MÉDICAMENT SUÉDOIS A , MALGRÉ TOUT, APPROUVÉ LA VENTE DE RITALINE EN SUÉDE
Cependant, les suicides et leurs tentatives se produisent seulement dans trois cas : en arrêtant complètement l’utilisation, en réduisant le dosage ou en continuant avec le même dosage
Appel en réponse à l’expertise INSERM sur le trouble des conduites chez l’enfant
Les enfants meurent de la drogue ritaline
Sa sœur cadette, Jennie, était sur le Ritalin. Mais elle a cessé le Ritalin le jour oi ‘Steph’ est morte et toute la famille a cessé de croire dans le TDAH
À mon avis, tout médecin qui prescrit ces médicaments pour les enfants atteints du TDAH devraient être présumés défroqué, recevoir une bonne raclée aux orties et être forcés d’émigrer aux Etats-Unis
les enfants sont détruits
Le rapport de l’INSERM sur les Troubles des conduites chez l’enfant et l’adolescent est un bon exemple de la bêtise universitaire quand elle se met au service de plus puissant
ritaline : « Alors même que l’on sait que ce produit crée une dépendance et induit souvent des troubles de l’appétit ou du sommeil »
« C’est juste une façon de mettre plus de gens sous médicaments sur ordonnance», a déclaré Marcia Angell
Dr Bate
Pharmacritique
LE MOMENT EST ARRIVE DE SE PREOCCUPER DE NOS ENFANTS TRAITES A LA RITALINE.
liste de liens
médicaments pour le TDAH
ibération massive de dopamine et de noradrénaline au niveau des synapses du système nerveux central potentialisée par l’inhibition de la recapture de ces neuromédiateurs
Les amphétamines ont été utilisées pendant la deuxième guerre mondiale et la guerre du Viêtnam pour augmenter les performances des troupes
Elles entrent dans la catégorie des psychoanaleptiques (stimulants) qui comprend également la cocaïne
« ce que les usagers ne savent pas c’est que l’abus de médicaments sur ordonnance peut être plus dangereux que l’abus de drogues fabriquées illicitement. » M. Emafo Président de l’OICS
les drogues légales et illégales
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L’éphédrine, le speed, les antidépresseurs, les amphétamines, la cocaïne, la ritaline, le crack, noréphédrine

amphétamines, antidepresseurs…
amphétamines, médiator, effexor, Ixel, ritaline, déroxat, cymbalta, zyban…
La majorité des médicaments contre le rhume contiennent de la phénylpropanolamine, une substance décongestionnante, certes efficace pour empêcher le nez de couler, mais accusée d’être responsable d’effets secondaires rares mais graves,
Un très grand danger pour vos enfants
Récemment, dans un avis sur les toxicomanies, le Comité Consultatif National d’Éthique (CCNE) français pour les sciences de la vie et de la santé soulignait que « la distinction entre les drogues licites  et les drogues illicites ne repose sur aucune base scientifique cohérente » (Rapports sur les toxicomanies, 1995, p. 3). Par exemple, sur le plan neuropharmacologique, le mode d’action d’une drogue illicite, comme la cocaïne, et celui d’une drogue licite (sous usage médical), comme le méthylphénidate (Ritalin), est presque identique (Volkow et al., 1995).
La cocaïne agit en bloquant la recapture de certains neurotransmetteurs comme la dopamine, la noradrénaline et la sérotonine.
ritaline : Ce produit entraîne une accoutumance masquée et une dépendance physique. Zyban: Le rapport de l’OFDT n°232 (septembre 2003) signale ce produit parmi les nouveaux identifiés sur la période 1998-2002 du fait de sa dangerosité potentielle.
la ritaline a le même profil de dépendance que la cocaïne!
Les pathologies retenues par l’AMM sont : narcolepsie avec ou sans cataplexie et hypersomnie idiopathique. Des examens sont nécessaires dans les formes de narcolepsie sans cataplexie et dans les hypersomnies idiopathiques
Il s’agit d’un antidépresseur proche des amphétamines, inhibiteur du recaptage de la dopamine et de la noradrénaline
ritaline…
La cocaïne sera également utilisée médicalement comme anesthésique local (endort l’endroit de contact). Freud sera le premier médecin à décrire son usage par voie nasale. Il le prescrira comme remède contre la dépression.
Les pathologies relatives à ces récepteurs entraînent des maladies comme : maladie de Parkinson, schizophrénie, modification de l’affectivité, psychoses.
La phénylpropanolamine, dite également noréphédrine, est une substance voisine de l’amphétamine, ayant un effet vasoconstricteur et donc une action décongestionnante
L’ancêtre des amphétamines est l’alcaloïde du ma-huang, une plante utilisée depuis des millénaires en Chine. En 1895, on en extrait l’éphédrine qui sert de support pour la synthèse de la benzédrine, la première d’une longue série d’amphétamines.
La pseudoéphédrine est donc un précurseur chimique de la méthamphétamine. Contrairement à la presse, les narcotrafiquants l’ont bien compris !
massacre de la population
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Psychotropes (antidépresseurs = amphétaminique+neuroleptique)

mort par les médicaments en santé mentale
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médiator (laboratoire Servier)

docteur Frachon irène, médiator : « massivement utilisé comme coupe faim, un des dernier coupe faim d’une grande famille assez efficace qui a été interdite… »

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médiator (benfluorex) (laboratoire Servier) : amphétamine cachée (fenfluramine)

Benfluorex (Amphétamine)
http://www.pharmacie-madeleine.com/dopage_ie.html
« Probablement identique aux dérivés trifluorométhyl de l’amphétamine ( type fenfluramine). »
http://www.biam2.org/www/Sub1481.html
« 1998: L’assurance-maladie met en garde dans un courrier l’Agence du médicament sur « l’utilisation non contrôlée d’un produit de structure amphétaminique, dans un but anorexigène », le Mediator (Benfluorex). »
« Du fait de leur toxicité, tous les amphétaminiques sont retirés du marché, sauf le Mediator »
« 1er octobre 1999: Selon un compte-rendu de la Commission nationale de pharmacovigilance, «Le benfluorex (nom chimique du Mediator) a fait l’objet d’une enquête «officieuse» dès 1995 en raison de parenté structurale avec les anorexigènes amphétaminiques. Cette enquête est devenue officielle en mai 1998. »

http://fr.wikipedia.org/wiki/Benfluorex
« La fenfluramine est une substance active médicamenteuse aux propriétés anorexigènes qui agit directement sur les structures nerveuses centrales régulant le comportement alimentaire par le biais de la sérotonine. Bénéficiant d’une autorisation de mise sur le marché (AMM) en Europe dès 1965[2] elle obtint son AMM aux É.-U. en 1973. La dexfenfluramine, l’isomère dextrogyre de la fenfluramine, également un anorexigène central sérotoninergique, obtint son AMM en France en 1985 sous le nom de marque Isoméride avant de l’être aux États-Unis en 1996[3] sous la marque Redux. Censée être dénuée des effets indésirables de la fenfluramine, elle fut très largement prescrite avant d’être retirée du marché américain et français en même temps que la fenfluramine en septembre 1997[4] après l’annonce d’effets secondaires graves (valvulopathies cardiaques et hypertension artérielle pulmonaire) provoqués par ces deux substances (parfois en association avec la phentermine), tandis que son efficacité était revue à la baisse. Des procédures judiciaires s’ensuivirent : très nombreuses aux États-Unis et au Canada (fen-phen litigations), elles furent jusqu’à ce jour très limitées en nombre en France – pays d’origine du laboratoire détenteur des brevets – où toutefois cette « affaire de l’Isoméride » a marqué les esprits et laissé une trace dans la jurisprudence »
le médecin est la personne qui risque le plus de vous tuer
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Les amphétamines cachées (fenfluramine) : médiator (laboratoire servier)

Mediator® (benfluorex)

Il est commercialisé comme traitement adjuvant des l’hypertriglycéridémies et du diabète avec surcharge pondérale.
L’OMS le classe parmi les anorexigènes (parenté chimique avec les anorexigènes amphétaminiques). Ce produit figure d’ailleurs sur la liste des produits dopants au titre des stimulants.
On le retrouve comme traitement à visée amaigrissante dans des ordonnances hors AMM.

Mécanisme d’action

Les amphétamines agissent principalement sur les voies dopaminergiques, sérotoninergiques et noradrénergiques. Sur le système dopaminergique, elles inhibent la recapture de la dopamine (comme la cocaïne), et provoquent de plus la libération massive de dopamine dans l’espace intersynaptique.

Les effets

La prise d’amphétamines entraîne euphorie, facilitation des rapport sociaux, désinhibition, logorrhée, hypervigilance, insomnie, hypermnésie, agitation motrice, tachycardie, hypertension artérielle, mydriase, anorexie, nausée. Cet effet dure quelques heures, la phase de « descente » est ensuite souvent difficile avec dysphorie et état dépressif.

Complications

La toxicité générale des amphétamines est forte. Les complications de la prise d’amphétamine sont l’insomnie, les crises agressives, la psychose amphétaminique (délire paranoïaque aigu avec ou sans hallucinations), et les complications de l’injection intraveineuse le cas échéant. Les amphétamines sont toxiques chez la femme enceinte (avortements, hématomes rétroplacentaires) et le foetus (retard de croissance intra utérin, souffrance foetale chronique, mort foetale in utero).
Les amphétamines induisent une dépendance physique faible et une dépendance psychique moyenne. Chez le consommateur régulier, un syndrome de sevrage est possible: fatigue, insomnie ou hypersomnie, agitation psychomotrice, et surtout état dépressif. La neurotoxicité des amphétamines est forte. Les anorexigènes amphétaminiques ont été retirés de la vente suite à des effets indésirables graves : hypertension artérielle pulmonaire, atteintes valvulaires cardiaques et troubles neuropsychiatriques.

http://www.ravmo.org/index.php?option=com_content&view=article&id=56:medicaments&catid=29:drogues-licites&Itemid=67

ne jmais faire confiance a un médecin

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Livres, médiator (benfluorex) (laboratoire Servier) : dérivé des amphétamines (fenfluramine)

Afficher l’image source

En menant des recherches sur le Mediator, j’ai été confrontée à une première difficulté majeure : impossible de savoir ce qu’était réellement ce médicament. Fait aberrant, seul le laboratoire communiquait sur la composition de son produit, sans que l’information ne soit contrôlée par l’Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé, NDLR). La nature du médicament n’était même pas inscrite sur la notice ! J’ai donc interrogé Servier, qui m’a affirmé que le Mediator n’appartenait pas à la même famille que l’Isoméride, ce qui s’est révélé inexact. Pire, il se forme dans l’organisme le même poison toxique pour le cœur et les poumons après ingestion d’un des deux médicaments. Autre dysfonctionnement : l’Afssaps a entamé une enquête sur le Mediator dès 1998, mais elle n’a pas prévenu les médecins… qui ont continué de le prescrire comme si de rien n’était.

http://www.francesoir.fr/sante/irene-franchon-il-faut-tirer-les-consequences-des-scandales.75695

Présentation de l’éditeur

Le drame du Médiator et la liste aberrante des 77 médicaments sous « surveillance renforcée » ont révélé la faillite de notre système de contrôle de sécurité des médicaments.

Ce n’est pourtant que la partie immergée d’un iceberg : 40 % de médicaments inefficaces, le plus souvent français ; des prix accordés aux firmes françaises 2 à 10 fois plus élevés que ce qu’ils devraient être ; des prescriptions délirantes, source de risques pour les patients et de 3 à 4 milliards de dépenses inutiles ; soutien très insuffisant à la coopération indispensable des recherches publique et privée au service de l’innovation thérapeutique ; mainmise d’une administration bureaucratique sur tout le système de santé ; formation initiale insuffisante des étudiants aux médicaments et formation continue et information des médecins abandonnées à l’industrie ; évaluation des médicaments laissée à des pseudo-experts non experts trop souvent payés par l’industrie.

Tout le système est à reconstruire au service des malades, des finances publiques et du progrès thérapeutique. Ce rapport dessine les profondes réformes à apporter d’urgence à un système qui refuse pourtant de se remettre en cause. Sans elles, de nouveaux drames se multiplieront inéluctablement. L’appui des citoyens sera indispensable pour les faire aboutir.

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Mediator : des plaintes déposées au pénal

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Le médiator est une amphétamine (tf1 vidéo)

http://videos.tf1.fr/jt-we/comment-le-mediator-a-echappe-aux-interdictions-6217438.html

http://www.wat.tv/swfpu/180994nIc0K115512109

Le témoignage d’une victime du médiator (vidéo)

http://www.kewego.fr/video/iLyROoafZ7PK.html

danger pour la santé
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« La Sécurité sociale connaissait les dangers du Mediator depuis dix ans ! »

Des médecins traduits en justice pour prescription injustifiée. C’est la riposte de la Sécurité sociale dans le scandale du Mediator qui n’en finit pas de s’amplifier. Ce médicament contre le diabète, prescrit comme coupe-faim à près d’un tiers des patients, aurait provoqué entre 500 et 2.000 décès depuis sa mise sur le marché en 1976, selon un rapport de la Sécurité sociale. Malgré les nombreuses alertes des médecins dès 1997, celles des revues médicales et du Comité de pharmacovigilance, malgré son interdiction dans de nombreux pays, le Mediator n’a été retiré de la vente, en France, qu’en 2009

http://www.francesoir.fr/securite-sociale-connaissait-dangers-du-mediator-depuis-dix-ans-63096.html

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« Tous les médicaments Servier sont inutiles ! »

pas besoin des médicaments
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« C’est Servier qui doit payer »

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gwen Olsen nous dit tout

LE SITE DE GWEN OLSEN

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Le problème des ISRS au Canada

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DONT TAKE SSRI’S (ne prennez pas d’antidépresseurs !)

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GSK et les antidépresseurs

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antidépresseur SURVECTOR (famille des imipraminiques) interdit (laboratoire Servier)

« L’Autorisation de Mise sur le Marché de SURVECTOR® est donc suspendue par l’Agence du médicament à compter du 31 janvier 1999. »
http://www.afssaps.fr/Infos-de-securite/Retraits-de-lots-et-de-produits/Retrait-de-la-specialite-pharmaceutique-denommee-SURVECTOR-100-mg-comprime-secable-des-laboratoires-SERVIER

« La tianeptine, chimiquement proche de l’amineptine, a aussi un effet antidépresseur sans inhiber la recapture de dopamine. Elle a cependant des effets dopaminomimétiques dont les mécanismes restent mal précisés. »
« Par ailleurs, l’amineptine peut provoquer des hépatites. »
http://www.pharmacorama.com/Rubriques/Output/Sympathomimetiques_indirectsa4.php

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Antidépresseurs IRS : propriétés similaires aux amphétamines

Antidépresseurs Atypiques

 

IRS

amineptine (Survector)
buproprion (Wellbutrin) Épileptiformes agitation, rate principles de crises.
ioxazine (Vivalan)
medifoxamine (Cledial)
miansérine (miansérine, Athymil)
milnacipran (Ixel)
néfazodone (Serzone) Produit de la somnolence, confusion, irréalisme, Perte de mémoire, et une hypotension. Hostilité, paranoïa, tentative de suicide, la dépersonnalisation et hallucinations.
oxafloxane (Conflictan)
tianeptine (Stablon)
trazodone (Desyrel) Sédation, vertiges, syncopes.
venlafaxine (Effexor) Aux ISRS profil analogue. May Produire de l’hypertentsion.

Utilisation
Presque Tous les antidépresseurs, y compris les ISRS et tricycliques Ont des stimulants Effets analogues aux amphétamines: dextroamphétamine (Dexedrine,), le méthylphénidate (Ritaline, Ritalin) Et la pémoline (Cylert). La FDA une retraite CES Produits de la vente.

Évidence scientifique?

Le fel qu’il faille médical Court Attendre Semaines verser Effet Obtenir de l’ONU ont tendance plutot Montrer A Effet non placebo [interest Québec sur le patient l’au porte] qu’une action Chimique actual. Mémé verser Sérieuse dépression UNE, le rate means of supérieur spontanée intérêt réduction de peine à 50% en humidité sans Trois treatment. Le Moyen rate avant l’ère des psychotropes etait de 44% la première Année, 56% sur Deux ans plus UO. Les études contre placebo en double aveugle n’indique Pas d’Positif Effet verser les antidépresseurs.

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ISRS, effets : principalement stimulants, similaires à ceux des amphétamines

IRS (SRI)

(Inhibiteurs sélectifs de la non récupération de la sérotonine, de la noradrénaline, et de la dopamine also) Comme la venlafaxine (Effexor)

Sur Aujourd’hui envisager d’injecter rattachent directement chirurgicalement de la sérotonine DANS sites les Vitaux du SNC sur la base de «Corriger les DesÉquilibres cérébraux Qui créent des Comportements Indésirables».

IRSS (ISRS) (Inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine)

citolopram (Seropram)

la fluoxétine (Prozac)

fluvoxamine (Floxyfra)

fluvoxamine (Luvox), Traitement des Désordres obsessifs compulsifs-

paroxetine (Deroxat, Paxil)

sertraline (Zoloft)

Functioning

1-noie les fentes synaptiques de l’inhibition de la sérotonine par recapture de la Celle-ci; s’accroit l’Activité du neurone postsynaptique. [Du sel du Principe de Le Chatelier (Henry)], le Cerveau tente de Résister un TEC en inhibant les Effet circuits produisant la sérotonine, résultant en des Nations Unies nouveau pseudo-Équilibre imprévisible, la dépression induisant, le suicide, les crises de violence UO.

2-Versez rame de Compenser la Perte d’Équilibre des circuits sérotoninergiques et l’Excès de sérotonine DANS synapses les, le «Cerveau» (sic, Ou Le Psychisme?) Induit réduction UNE des Récepteurs de sérotonine des plongeurs types aller hauteur de garrot JUSQU’A 60 ou plus%, AVEC parfois augmentation de Leur DANS certains Nombre de circuits. Le NE SAIT Pas si this Perte des Récepteurs OU EST réversible non stop l’ancre de la.

Effets

Principaux

stimulants principalement, similaires à ceux des amphétamines des, aggravant les Symptômes de la dépression:

psychiatriques et neurologiques

agitation

angoisse

rêves anormaux

maux de tête

Stupeur et tremblements

Nervosité

insomnie

hypomanie et manie

Crise (type Épilepsie)

digestifs

Perte de Poids

Douleurs nausée, abdominales, vomissements

Diarrhée

Sèche bouche

anorexie

dyspepsie

peau et les muscles

voulues pour réduire la transpiration

torticolis

Comportement

émoussement et la neutralisation de Toutes les sensations

HYPERACTIVITE

paranoïde troubles

hostilité

violence

suicide

psychotique dépression (Effondrement)

hallucinations

psychose (au sens de Symptômes psychotiques)

Repli et Toxicomanie

Effets Secondaires

Diminution des Facultés tales, mémorisation, apprentissage, abstrait, intrigue, temps de réaction, mémoire tribunal à Terme et à long Terme.

syndromes

akathisie (agitation + HYPERACTIVITE) Þ psychose, le suicide ous la violence

dystonie Þ spasmes DANS cervicale région de Los Angeles, oculaire ous orale, Dans Voire àut le corps

parkinson Þ abaissement Emotionnel immobilisation et du corps

sérotoninergique syndrome (tryptophane AVEC OU IMAO)

inductions

Les ssris induisent la suppression de la transmission dopaminergique UNE la (depuis Connu 79), Tout Comme les neuroleptiques, Induisant fel CE de l’ONU rate principles de dyskinésie, de dysfonction irréversibles et cognitifs Démence de.

La RDA imposer la mention «Risque de suicide» sur les Emballages.

Sites

sérotoninergiques Voies

Voies dopaminergiques (septum « lobe frontal)

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antidépresseurs IMAO : effets similaires aux amphétamines

IMAOs (1970)

Analogues de l’acide nicotinique utilisé pour activer les patients affectés de tuberculose. Inhibiteurs de la monoamineoxydase (1940).

iprionazide (Marsilid) retiré de la vente

isocarboxazide (Marplan)

moclobemide (Moclamine)

phenelzine (Nardil)

selegiline (Eldepryl) pour le traitement du parkinson

tolaxatone (Humoryl)

tranylcypromine (Parnate) cause hypertention et attaques, maintenu sur le marché par lobbying de la firme et de l’APA (1963).

Produits considérés extrêmement toxiques dès leur apparition (années 60), ils ont été plus ou moins écartés, mais reviennent en vogue comme partie du nouveau forçage actuel de la psychiatrie biologique. [retour en force de l’idéologie biologique de l’homme, notamment avec les études sur le cerveau et les gènes; impuissance de plus en plus grande de la psychiatrie du fait de la nouvelle idée de traitement des patients qui aboutit à des échecs]

Fonctionnement

Accroissent le niveau de norépinéphrine dans le SNC.

Effets

Désordres du SNC: sursauts myocloniques, neuropathie périphérale, paresthésie.

Insomnie, agitation, angoisses, et dans de rares cas, sédation.

Syndromes organiques cérébraux et psychoses maniaques.

Les praticiens utilisent fréquemment des sédatifs pour tenter d’enrayer les effets primaires, ce qui aggrave les effets secondaires.

Combinaison

Crises de surstimulation hypertensives, conduisant à des détériorations du SNC et jusqu’à des attaques cardiaques, par combinaison avec:

des psychostimulants, amphétamines, dopamine, ephedrine, isoproterenol, metaraminol, epinephrine, phenylepherine, methylphenidate, phenylpropanolamine, pseudoephedrine (souvent utilisés pour traiter les refroidissements [rhumes] et l’asthme)

d’autres antidépresseurs, tricycliques, SSRIs, buproprion, tryptophane

demerol, L-dopa (Þ troubles du SNC)

des aliments qui contiennent de la tyramine (foie de bœuf ou de poulet, saucisses fermentées, caviar, fèves, levure, alcool, etc. (crises hypertensives))https://amphete.wordpress.com/2011/04/23/principes-des-addictions-psychiatriques/

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antidépresseurs tricycliques

Tricycliques (1970)

Fonctionnement

Mal connu, produit une dysfonction mentale généralisée et empêche l’usage de réactions psychiques, émotionnelles ou socio-spirituelles.

Classes

amitriptyline (Laroxyl, Elavil)
amoxapine (Defanyl, Asendin) se transforme en neuroleptique dans le corps avec les mêmes effets.
clomipramine (Anafranyl)
chlorpromarzine (Thorazine, neuroleptique) noyau identique aux phenothiazines
desipramine (Perfotran, Pertofane, Norpramin,,,,,)
dosulepine (Prothiaden)
doxepine (Quitaxon, Sinequan, Adapin, )
imipramine (Tofranil, Imavate, Presamine, SK-Pramine, Janimine, )
maprotiline (Ludiomyl)
nortriptyline (Motival, Aventyl,  Pamelor, )
protriptyline (Vivactil)
quinupramine (Kinupril)
trimipramine (Surmontil)

Effets principaux

Dépression de l’activité motrice.
Difficultés de concentration et de penser, diminution de l’idéation, tristesse (dullness) de la perception. Handicap des processus cognitifs et affectifs.
N’enraye pas les tentatives de suicide, contrairement aux prétentions des cliniciens.
Sédation, émoussement des émotions, stimulation.
manie induite par la drogue

Induction de manie par la prise de drogue ou au retrait. Dépasse 2 à 3% dans les tests de courte durée (4-6 semaines).
Manie et hypomanie, comportements dangereux, accidents, suicides et violence, parfois meurtrière sur les autres. Peut se développer en moins de 24 heures.
Les effets d’euphorie ou de manie induisent ou augmentent le déni de l’effet toxique du produit.

effets secondaires

Cause un syndrome organique cérébral créant une apathie émotionnelle, qui est l’effet recherché (analogue aux électrochocs). Oubli, agitation, pensées illogiques, désorientation, accroissement de l’insomnie, hallucinations. En général le produit est administré jusqu’à ce qu’il produise des réactions toxiques, sur des recommendations d’aller jusqu’à la confusion mentale ou des signes analogues aux effets d’amphétamines. La dose la plus forte tolérée par le patient est recommandée dans les cours et les livres de spécialistes.
Augmentation fréquente de la dépression [par levée de refoulement ou perception du handicap, malgré l’effet sédatif].
Fréquentes inductions de suicide. Les tricycliques sont en première ligne des produits utilisés pour des tentatives de suicide.
On observe des arrêts cardiaques avec des ingestions aussi faibles qu’une semaine de traitement.

syndromes

Peuvent provoquer un syndrome toxique identique à celui produit par les neuroleptiques: faiblesse, fatiguabilité, nervosité, maux de tête, agitation, vertiges, tremblements, ataxie, presthésie, dysarthrie, nystagmus et tics. Crises épileptiformes.

Sites : Inconnus.

 

Combinaisons

Peut être létal en combinaison avec d’autres dépressants du SNC: alcool, neuroleptiques, lithium, hypnotiques. Arythmies cardiaques et apnées.

Sevrage

Rebond cholinergique avec des symptômes analogues à la grippe: anorexie, nausées et vomissements, diarrhée, myalgie, maux de tête, fatigue, insomnies, cauchemars. Symptômes cardiovasculaires (arythmie, ectopie ventriculaire). Décompensations psychotiques, hypomanies et manies, angoisses aigues.
Plusiseurs jours jusqu’à deux semaines, parfois jusqu’à deux mois ou même permanents.

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L’amphétamine-bupropion (ZYBAN®) : antidépresseur wellburtin

Il s’agit d’un antidépresseur proche des amphétamines, inhibiteur du recaptage de la dopamine et de la noradrénaline

 http://www.paris-nord-sftg.com/cr.tabac.0204.htm
Les amphétamines cachées :
Zyban® (bupropion alias amfébutamone)

Il a une autorisation de mise sur le marché pour le sevrage tabagique. Il a des effets indésirables de type amphétaminique (convulsions, HTA, palpitations, tachycardie, insomnies, crises d’angoisses, TS….) et des effets immunoallergiques nombreux. Le rapport de l’OFDT n°232 (septembre 2003) signale ce produit parmi les nouveaux identifiés sur la période 1998-2002 du fait de sa dangerosité potentielle.
http://www.ravmo.org/index.php?option=com_content&view=article&id=56:medicaments&catid=29:drogues-licites&Itemid=67

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le Valdoxan de Servier est-il dangereux ?

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 » Le zyban dangereux comme le médiator et l’isoméride !!! »

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Stimulants de la vigilance et anorexigènes

Amphétamine  : L’amphétamine augmente la libération et inhibe la recapture de noradrénaline et surtout de dopamine, peut-être aussi de sérotonine.
Ritaline : Le méthylphénidate inhibe la recapture de noradrénaline et surtout de dopamine dont la concentration extracellulaire s’élève.
Sibutramine : La sibutramine est un inhibiteur de la recapture des monoamines noradrénaline, sérotonine et dopamine.
Cocaïne :  Elle inhibe la recapture des catécholamines, dopamine et noradrénaline.

http://www.pharmacorama.com/Rubriques/Output/Sympathomimetiques

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pondéral : amphétamine cachée (fenfluramine) (laboratoire servier)

Juridique : Ponderal-Redux : Servier payera 25 M€ pour éviter des procès au Canada
Dans le cadre d’un règlement à l’amiable, le laboratoire français Servier versera jusqu’à 40 M$CA (25 M € ), dans le recours collectif engagé au Canada

MÉDICAMENTS PONDÉRAL/REDUX
Recours collectif

Un métabolite commun : la (d)-norfenfluramine
Le Dr Servier indique par ailleurs que le métabolite commun au Médiator et à l’Isoméride, la (d)-norfenfluramine, ne représente que 2 % des métabolites du Médiator et 40 % des métabolites de l’Isoméride ». Dans son communiqué, l’Afssaps avance les chiffres de 4 % (Médiator), 33 % (Isoméride) et de 10,6 % pour la fenfluramine (Pondéral).

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Isoméride : amphétamine cachée (fenfluramine)

Les Américains réclament 16 MILLIARDS au laboratoire SERVIER

Alors que les Américains réclament 16 MILLIARDS au dealer SERVIER (RMC) pour l’Isoméride (meme molécule que le Médiator ,le livre LES LECONS DU MEDIATOR (intégralité du rapport) du Pr Bernard Debré et Philippe Even vient de sortir Livre l’intégralité du rapport sur les Médicaments Pr. Bernard Debré Pr. Philippe Even . Le drame du Médiator et la liste aberrante des 77 médicaments sous « surveillance renforcée » ont révélé la faillite de notre système de contrôle de sécurité des médicaments. Ce n’est pourtant que la partie immergée d’un iceberg : 40 % de médicaments inefficaces, le plus souvent français ; des prix accordés aux firmes françaises 2 à 10 fois plus élevés que ce qu’ils devraient être ; des prescriptions délirantes, source de risques pour les patients et de 3 à 4 milliards de dépenses inutiles

ISOMÉRIDE ® : principales dates et chiffres

L’ISOMERIDE, produit du Laboratoire SERVIER, a été mis sur le marché, en France, le 15 Novembre 1985.

Ce coupe faim, dont le produit actif est la DEXFENFLURAMINE, a connu rapidement un grand succès, non seulement chez les vrais obèses, mais aussi chez de très nombreuses personnes voulant perdre quelques kilos superflus.

On estime que 7 à 10 millions de français ont absorbé de l’ISOMERIDE entre 1985 et 1997.

Ce médicament coupe faim, censé réduire la consommation des glucides et réguler le poids des personnes obèses, a été retiré de la vente en France, le 15 Septembre 1997, après la découverte de complications à type d’hypertension artérielle pulmonaire dès 1995 et d’anomalies des valvules cardiaques en Juillet 1997.

Pourtant, bien avant cette date, de nombreux organismes ( le Centre Régional de Pharmacovigilance de BESANCON, l’Agence Française du Médicament, la Mayo Clinic aux USA…) avait mis en garde sur les complications liées à l’ISOMERIDE.

En particulier, en ce qui concerne l’hypertension artérielle pulmonaire dont le risque est multiplié par 3 au bout de 3 mois d’utilisation d’ISOMERIDE et par 23 après 12 mois d’utilisation.

http://www.victimes-isomeride.asso.fr/isomeride.html

Aspects juridiques de l’affaire

« Des procès furent intentés des deux côtés de l’Atlantique. Ces actions en justice, quoiqu’indépendantes, entretiennent des liens entre elles : ainsi la décision des laboratoires Servier de se pourvoir en cassation était aussi motivée par le souci de ne pas offrir un argument aux associations de patients américains[78]. De la même façon, le soin pris par les laboratoires Servier à user de leur droit de réponse chaque fois qu’une étude scientifique montrait la responsabilité de l’Isoméride® pouvait s’expliquer – du moins en partie – par ce même souci de priver les parties civiles américaines et canadiennes d’éventuels arguments[79].

Procès au Canada

Le Redux fut introduit au Canada après avoir été introduit aux États-Unis[80]. Le Pondéral fut retiré du marché canadien le 15 septembre 1997. Dès fin septembre deux requêtes en recours collectif avaient été déposées, dans la province du Québec, concernant le Pondéral. Une troisième demande s’y ajouta bientôt, tandis que deux des procédures fusionnèrent. Le 15 septembre 1998 un autre recours collectif est entrepris, au sujet du Redux cette fois, contre Servier Canada Inc. Parallèlement à ces procédures, le 17 novembre 1998 des procédures en recours collectif reliées aux produits Pondéral et Redux sont intentés au nom de tous les consommateurs de ces mêmes produits au Canada, sauf au Québec.

Le 19 octobre 2004 les juges approuvèrent les accords intervenus dans le cadre du recours collectif national (excluant les résidents du Québec): le 29 juin 2005 ils approuvèrent ceux concernant les résidents du Québec (qui portaient sur le Pondéral et sur le Redux)[81].

En 2000, si seulement trois affaires ont été présentées à la justice française, au Canada ce sont près de 155 000 personnes qui ont porté collectivement plainte contre la firme française Biofarma[82](qui fabrique les coupe-faim) et contre Servier-Canada (qui les distribue)[79].Il y a eu une class action pour le ponderal et une autre pour le redux[83].

Au delà de l’affaire elle-même, ces évènements eurent un effet sur le droit lui-même. La jurisprudence, devant la multiplication des demandes de recours collectif, a dû inventer des dispositions régulant les cas de litispendance. Au Québec ce fut le résultat de l’arrêt Servier (57Hotte c. Servier Canada inc., [1999] R.J.Q. 2598 (C.A.))[84], les autres provinces s’alignant sur une procédure inspirée du droit américain[85].

Procès aux États-Unis

En 1973 la FDA attribuait un label (une AMM) à la société A.H. Robins pour la commercialisation de la Fenfluramine. Robins fut racheté en 1989 par American Home Products qui distribua la fenfluramine sous la marque Pondimin. Jusqu’au 15 septembre 1997, date du retrait du marché de ce produit, AHP fut le seul distributeur de ce médicament ; suivant la réglementation américaine, au titre de son AMM, AHP fut donc durant cette période la seule entité à faire remonter les cas d’effets indésirables[86].Les ventes du Pondimin se maintinrent à un niveau modeste jusqu’à l’année 1992, date à compter de laquelle parurent une série d’articles de Michael Weintraub dans le Journal of Clinical Pharmacology and Therapy[87]: le Pr Weintraub y exposait les avantages de la prescription associée de fenfluramine avec la phentermine[88] qui, d’après lui,combinait les avantages de chacune des deux substances sans en avoir les inconvénients (ce que l’on connu sous le nom de fen-phen). Les ventes de Pondimin s’accrurent considérablement : entre janvier 1995 et mi-septembre 1997, quatre millions de personnes aux États-Unis prirent du Pondimin[89],[90].

Le Redux mis sur le marché au début de l’été 1996 par American Home Products[91], connut un succès immédiat : six mois après son homologation, on comptait déjà aux États-Unis six millions de prescriptions pour le Redux[92]. Entre juin 1996 et mi-septembre 1997, deux millions d’Américains en prirent[90].

Dés l’annonce du retrait des fenfluramines et dexfenfluramines du 15 septembre 1997 de très nombreux plaignants amorcèrent des procédures en justice. Qu’ils recherchent des dommages et intérêts s’ils estimaient avoir effectivement souffert des maux attribués aux médicaments, ou qu’il veuillent seulement obtenir les moyens de conduire des examens pour vérifier leur état de santé, ces personnes dirigèrent leurs actions d’abord et surtout contre les fabricants[93], mais aussi à l’encontre des médecins prescripteurs ou des centres d’amaigrissements qui avaient fait commerce de ces produits[48].

Ainsi plus de 2000 procès furent intentés à Interneuron[94]. Dans les 26 mois qui suivirent le retrait des médicaments incriminés, Wyeth eut à faire face à 18000 poursuites[95].

Un premier procès commença en mars 1999,qui fut interrompu par la signature d’un accord entre les parties. D’autres procès connurent la même issue : c’est seulement en août 1999 que des dommages et intérêts furent obtenus par décision d’un tribunal (23 millions de dollars). C’est après ce premier verdict que, dans le contexte d’une class action[96], des avocats de victimes et la société American Home Product arrivèrent à un accord (settlement agreement, Multi District Litigation, MDL 1203) définissant le cadre dans lequel les plaintes devaient être reçues et satisfaites. Le 3 janvier 2002, le terme pour les recours alternatifs ayant échu, l’accord acquit une valeur définitive[97]. Cet accord exclut de son champ d’application l’hypertension artérielle pulmonaire (mais aussi les troubles neuropsychiatriques)[98] : il ne concerne que les personnes pouvant faire état de valvulopathies.

Cette affaire donna lieu à la plus grande class action (civil legal action) jamais intentée : 300 000 personnes dans leur majorité des femmes gagnèrent contre Wyeth et Interneuron. 62000 autres personnes ne se joignirent pas à cette procédure mais préférèrent poursuivre directement Wyeth et sa société mère, American Home Product[99]. Exceptionnelle par le nombre de personnes qu’elle rassembla, cette class action le fut aussi par l’étendue de la fraude à laquelle elle donna lieu et ce à plusieurs niveaux[100].

En 2005 Wyeth- qui avait alors une capitalisation de 60 milliards de dollars – provisionna 21 milliards pour couvrir les dommages et intérêts auxquels l’exposent plus de 100000 procès[101].

60 000 patients ont intenté des procès pour avoir subi des effets cardiovasculaires liés à la prise de dexfenfluramine (sous le nom de Redux®) et la fenfluramine (sous le nom de Pondimin®)[102], par l’intermédiaire d’un recours collectif : 3,75 milliards de dollars d’indemnisation auraient été versés à une association regroupant 150000 victimes afin d’éviter un procès[103]. C’est American Home Products qui, le 8 octobre 1999, conclut un accord pour indemniser les victimes ; les indemnités se montaient à 3.5 milliards de dollars[104].

Le 24 janvier 2000 Interneuron attaqua en justice American Home Products au motif que cette dernière société aurait manqué de lui rapporter des informations concernant la pharmacovigilance relative au Redux[105].

Fait peu observé par les commentateurs, la plupart de ces class action ont suivi une voie particulière qui inverse l’ordre de la procédure : par cette reverse bifurcation, les parties se mettent d’abord d’accord sur le montant global des indemnités avant de définir le tort qui les justifie (d’ailleurs généralement, cette seconde phase n’a jamais lieu.)[106].

Cette affaire fen-phen se déroula aux États-Unis dans un contexte politique ,législatif et réglementaire qui avait poussé à l’accélération des procédures d’autorisation de mise sur le marché (Prescription Drug User Fee Act (en) (PDUFA) de 1992, sa reconduction en 1997, et la Food and Drug Administration Modernization Act (en) (FDAMA) de 1997)[107].

Procès en France
En 1998 une femme, greffée des deux poumons, et qui avait suivi un traitement à l’Isoméride, attaque en justice les laboratoires Servier[108]. Le 10 mai 2002 la cour d’appel de Versailles, confirmant le jugement rendu en décembre 2000 par le tribunal de Nanterre, condamnait les laboratoires Servier à indemniser la plaignante. Niant tout lien de causalité direct et certain entre la pathologie alléguée par la plaignante et la prise du médicament Isoméride®, les laboratoires Servier se pourvurent en cassation[109]. Dans un arrêt du 24 janvier 2006, connu sous l’appellation « arrêt isoméride »[110] la Cour de cassation confirmera la décision de la cour d’appel de Versailles qui constatait la responsabilité de l’Isoméride® dans la survenance d’une affection pulmonaire très grave.

Au-delà de l’affaire elle-même, la décision de la Cour d’appel de Versailles, tout comme l’arrêt de la Cour de cassation auront des répercussions dans toute l’industrie pharmaceutique : fondant leur décision sur le droit de la consommation[111], les magistrats forgent une nouvelle notion du lien de causalité : il n’est plus nécessaire qu’il soit direct et certain[112].

Suite à ces décisions, des actions collectives s’organisent en France, beaucoup de patients n’ayant pas été informés des effets indésirables[112].

le 15 novembre 2007, la Cour d’Appel de Versailles, invoquant la Directive de la Communauté Économique Européenne N°85/374 du 25 juillet 1985, disculpait les Laboratoires Servier des charges qui lui étaient imputées en première instance. Cet arrêt fut cassé et annulé le 9 juillet 2009, par la Première Chambre Civile de la Cour de Cassation[113].

Le 17 septembre 2010 un jugement du tribunal de grande instance de Nanterre était défavorable aux Laboratoires Servier. Ceux-ci font appel du jugement[114]. »

http://fr.wikipedia.org/wiki/Fenfluramine

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médicaments pour maigrir

 Anorexigènes : Amfépramone - Benfluorex - Clobenzorex - Dexfenfluramine - Diethylporpion - Dinintel® - Fenfluramine - Fenproporex - Isoméride® - Médiator® - Moderatan® - Phenmetrazine - Phentermine - Pink hearts - Pondéral® - Prefamone® - Robin's eggs - Tenuate®

Potentiel de dépendance
Dépendance psychique forte pour les dérivés amphétaminiques, modérée pour les fenfluramines.
Syndrome de sevrage même après les sérotoninergiques : dépression.
Tolérance rapide aux effets anorexigènes, conduisant à l’augmentation des doses, à la découverte des effets psychostimulants, et l’apparition des effets indésirables psychiatriques et cardio-vasculaires.
Facteurs de risque : antécédents de boulimie.
Risques
Immédiats
Mydriase, syndrome sérotoninergique, nystagmus, infarctus, hypertension, insomnie, sécheresse buccale. hallucination, épilepsie.
Liés à une utilisation chronique
Dex et fenfluramine : valvulopathies cardiaques gauches ou bilatérales, avec régurgitation mitrale, tricuspide et aortique, avec histologie comparable au carcinome valvulaire (lié à la sérotonine), enregistrées avec la fenfluramine, et la dexfenfluramine, au bout de 9 mois de traitement en moyenne, et conduisant à la pose d’une prothèse et/ou au décès. Ces produits (Pondéral® et Isoméride®) ont été rétiré du marché en 1997, mais un dépistage et une surveillance des sujets traités au long cours est toujours d’actualité.
Hypertension artérielle pulmonaire primitive, effets rare mais incurable, pouvant conduire à une greffe pulmonaire et/ou au décès. Risque multiplié par 30 chez les sujets lors de traitements de plus de 30 mois.
Destruction des terminaisons nerveuses sérotoninergiques.
Dépression, psychose, manie,
Psychose avec les dérivés amphétaminiques comme amfépramone.
Rebond à l’arrêt du traitement : reprise de poids.
Fenfluramine : effets gastro-intestinaux plus fréquents, diarrhée, constipation, dépression somnolence
Effets surtout au début. Hépatite. Pancréatite
Amphétamine et méthamphétamine : Battu - Chalk - Crank - Cris - Cristina - Cristy - Crystal meth - Crystals - Glass - Go fast - Hiropon - Ice - LA ice - LA glass - Meth - Quartz - Rippers - Snot - Speed - Yellow bam - Zip
Inhibition de la recapture de la dopamine.
Les amphétamines induisent de surcroit une libération de dopamine, de noradrénaline, et de sérotonine à partir des terminaisons nerveuses : les amphétamines sont recapturées comme un neuromédiateur, et entraînent la libération de dopamine par un phénomène de transport inverse. Ce mécanisme serait à l’origine de la destruction des terminaisons nerveuses.
Inhibition de la MAO.
Dépendance psychique très forte. Craving intense pour la méthamphétamine.
Syndrome de sevrage avec dépression, hyperphagie, hypersomnie, qui s’améliore en quelques jours généralement. Mais peut persister pendant plusieurs mois. Voir critères diagnostiques du sevrage amphétaminique du DSM IV.
Pour l’amphétamine, à faibles doses, pas de tolérance vis à vis des effets éveillants, mais développement d’une tolérance à long terme vis à vis des effets anorexigènes.
Pour la méthamphétamine, la tolérance est très rapide, et peut se développer avant même la chute des concentrations sanguines.
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médicaments pour maigrir

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Mediator : « Une indemnisation dérisoire au regard des souffrances endurées », regrette Irène Frachon

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dépendances aux drogues légales et illégales

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le médicament « la pervitine » (amphétamine) : l’antidépresseur d’Hitler et Göring

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Violences et méthampétamine

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les ravages de la méthamphétamine

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effets de la méthamphétamine

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cocaïne : l’histoire

« Sigmund Freud fut  la première autorité à recommander cette drogue. Au début de sa carrière, Freud recommandait cette drogue et la décrivait comme étant un tonique sans danger et utile pour combattre la dépression et l’impuissance. »

« Durant le sevrage, la personne souffre de dépression sévère. Elle peut ressentir un tel désespoir qu’elle fera n’importe quoi pour se procurer sa drogue, elle commettra même un meurtre s’il le faut. Si la drogue n’est pas disponible durant le sevrage, les douleurs peuvent être telles que la personne pensera parfois à se suicider. »
 « Plus tard, les Américains prirent conscience de la sévérité du problème de la cocaïnomanie et soulevèrent un tollé général afin d’interdire l’utilisation dans la société de la cocaïne.  Ce qui força John Pemberton à mettre fin à l’utilisation de la cocaïne dans le Coca-Cola en 1903.Enfin la pression publique fut telle que la cocaïne fut mise sur la liste des stupéfiants prohibés en 1920 par les législateurs nationaux lors de la ratification de l’Acte sur les Drogues Dangereuses de 1920″
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LES EFFETS DES DROGUES PSYCHOSTIMULANTES : AMPHETAMINES, ANTIDEPRESSEURS, COCAINE, CRACK, RITALINE et la DEPENDANCE

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ritaline et autres psychotropes chez les enfants

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Psychotropes Alerte -2008

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Ritaline et risque de mort subite par arrêt cardiaque ?

https://dailymotion.com/video/xbpftq

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Pilule Alli, extrait des jakpots de l’industrie pharmaceutiques

https://dailymotion.com/video/xcnstm

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Principes des addictions psychiatriques

PHARMACOTOXICUTY
Principes des addictions psychiatriques
(Toxic psychiatry)

Source: Peter R. Bregging, Toxic psychiatry (1991)Brain-disabling treatments in psychiatry (1997). Environ 2500 références, incluant les rapports de l’APA et la FDA. David Cohen et Suzanne Cailloux-Cohen, Guide critique des médicaments de l’âme (1995). Pour les autres articles sur le sujet (environ 40 disponibles), voir dans la bibliographie de www.structuralpsy.org. [ ] mes notes personnelles. Voir aussi Newsletter ICSPP, Ethical Human Sciences and Services, Journal of Mind and Behavior qui publient des articvles scientifiques sur le sujet.

Principes du traitement
Bregging (1997)
1. Tout traitement biopsychiatrique crée la rupture d’une fonction naturelle du cerveau.

2. Tout intervention biopsychiatrique crée une dysfonction cérébrale généralisée.

3. L’effet réputé “thérapeutique” d’un traitement biopsychiatrique est dû à la réduction ou l’annulation de fonctions humaines supérieures du SNC ou médiatisées par le SNC, incluant la vitalité, la réactivité émotionnelle, la sensibilité sociale, la conscience de soi-même et la capacité d’autoexamen, l’autonomie, et la libre détermination. Les autres effets recherchés sont l’apathie, l’euphorie, et l’indifférence sensorielle et mentale.

4. Tout traitement biopsychiatrique produit une dégradation essentielle ou primaire sur tout sujet, y compris des sujets volontaires normaux, ou des patients psychiatriques de pathologies diverses.

5. Les patients réagissent à la dégradation cérébrale en fonction de leur possibilités psychiques, par apathie, euphorie, obéissance et résignation, ou révolte, selon le cas.

6. Les patients souffrant de troubles mentaux et émotionnels traités habituellement avec des drogues biopsychiatriques n’ont aucune déficience génétique ou biologique connue.

7. Quand il y a un trouble cérébral biologique, toute intervention biopsychiatrique accroît ou empire le trouble.

8. Les traitements biopsychiatriques n’ont aucune spécificité en ce qui concerne les désordres mentaux.

9. Les réactions cérébrales pour compenser physiquement les dégats des interventions biopsychiatriques causent généralement des réactions contraires et des problèmes de retrait.

10. Les patients sujets à des interventions biopsychiatriques ont généralement des jugements erronés sur les effets positifs et négatifs du traitement et sur leur propre fonctionnement.

11. Les médecins qui prescrivent des interventions biopsychiatriques ont en général une estimation irréaliste des risques et des bénéfices du traitement.

Les interventions biopsychiatriques sont fondées sur le principe du “désemparement et déni iatrogènes” (iatrogenic helplessness and denial, IHAD). Il se réfère au mécanisme qui fait que le patient perd, par la façon dont le traitement est appliqué et par l’effet chimique ou neurologique du traitement, toute capacité d’évaluation de ses réactions, du handicap créé par le traitement, et des assertions du médecin. «Le psychiatre biologique utilise des techniques connues d’autorité et impose des traitements destructeurs du SNC pour obtenir un désarroi et une dépendance accrus du patient.»

La IHAD implique le déni de la part et du médecin et de la part du patient des dommages créés par le traitement, tout autant que des réels troubles psychologiques et contextuels présents. La IHAD rend compte de la fréquence avec laquelle les traitements par techniques destructrices du cerveau sont utilisés en psychiatrie: électrochocs, psychochirurgie, et médication toxique. Le fait que le traitement détruit des fonctions cérébrales amène la soumission du patient par le biais de la perte de fonctions essentielles telles que la vitalité, la volonté et le raisonnement. Le déni vise non seulement la destruction des fonctions essentielles chez le patient, mais aussi le fait que ses problèmes psychologiques continuent. Ce déni est assorti de confabulation [procédé commun à toutes les addictions avec produit. [Le déni est un procédé de défense archaïque (stade oral-anal)]].

Traitement biopsychiatrique = création d’un dommage cérébral plus ou moins permanent et irréversible

Addiction psychiatrique = utilisation du transfert sur le praticien, sur la médecine, et/ou sur le produit, pour créer un état de dépendance majeure (symbiose toxique) avec le dispositif psychiatrique

[Ici, il s’agit d’autre chose qu’un déni, puisque les effets détériorants de l’individu sont attestés et publiés à la fois au niveau scientifique, au niveau des professionnels, et au niveau grand public. Il s’agit plus d’une organisation de la manipulation de l’information à grande échelle pour détourner le sens donné aux actes destructeurs, entre autres fondés sur la propagande de l’idéologie de l’origine biologique du trouble mental au profit du maintient de l’emploi et des profits du système industriel.]

Circuits dopaminergiques: neuroleptiques (1950)
Classes
phenothiazine et dérivés
amoxapine (antidépresseur) se métabolise en neuroleptique, beaucoup de dsykinésie tardive

chlorpromarzine (Largactil, Thorazine)

chlorprothixene (Taractan)

cyamemazine (Tercian)

droperidol (Inapsine)

fluphenazine (Moditen, Modecate, Trilifan, Prolixin (effet retard), Permitil)

haloperidol (Haldol) (effet retard)

levomepromazine (Nozinan)

loxapine (Loxitane)

mesoridazine (Serentil)

molindone (Moban)

perphenazine (Trilafon)

pimozide (Orap)

piperacetazine (Quide)

pipotiazine (Piportil)

prochlorperazine (Compazine) est utilisé comme antiemetic

propericiazine (Neuleptil)

reserpine (Serpatil) est utilisé pour supprimer la dyskinésie tradive

thioproperazine (Majeptil)

thioridazine (Melleril, Mellaril)

thiothixene (Navane)

triavil, etrafon (Trilafon) est cominé avec un antidépresseur (Elavil)

trifluoperazine (Terfluzine, Stelazine)

triflupromarzine (Vesprin)

nouveaux
butyrophenones
droperidol (Droleptan)

haloperidol (Haldol)

pipamperone (Dipipéron)

thioxanthènes
flupenthixol (Fluanxol)

zuclopenthixol (Clopixol)

benzamides
amisulpiride (Solian)

raclopride

remoxipride

sulpiride (Dogmatil, Synedil, Aiglonyl)

sultipride (Barnetil)

tiapride (Equilium, Tiapridal, Tiapride)

divers
clozapine (Leponex, Clozaril)

loxapine (Loxapac)

olanzapine (Zyprexa)

pimozide (Orap)

risperidone (Risperdal)

antihistaminiques
methdilazine (Tacaryl)

trimeprazine (Temaril)

antinauséux
thiethylperazine (Torecan)

prometahzine (Phenergan)

anesthésiques
propiomazine (Largon)

prometahzine (Phenergan)

metoclopramide (Reglan) régulateur gastrique

nouvelle génération
clozapine 1960 (Leponex, Clozaril), déja écarté en 70 à cause des nombreuses morts provoquées, provoque des crises épileptiformes, des comas, bloque les récepteurs de dopamine dans le système limbique (émotions)

risperidone 1994 (Risperdal), stimulant: insomnie, agitation, angoisse, manie, cancer du sein

Effets
principaux
Le premier effet des neuroleptiques est la dévitalisation (deactivation). Il s’agit d’une lobotomie chimique affectant principalement les voies limbique—frontal ascendantes et le le ganglia basal [ganglions de la base: thalamus, noyaux gris centraux, striatum (substance noire + noyau caudé + putamen), pallidium, en fait tous les centres de la régulation sous-corticale], médiatisées par la dopamine. C’est effectivement ce qui est recherché pour ses effets de perte d’impulsivité. Il n’y a aucun résultat antipsychotique prouvé en dehors de cette désactivation du cerveau. Cet effet est d’ailleurs plus ou moins présent avec tous les psychotropes, y compris les stimulants.

Les effets sont

selon Adams & Victor, 1989: perte du raisonnement abstrait et de la projection dans le futur [le lobe frontal est impliqué dans le fonction d’imagination et de projet par un mécanisme de feedback frontal-occipital]; détérioration de la personnalité; dégradation ou perte de l’initiative et de la spontanéité.

selon Stuss & Benson, 1987: perte de l’analyse séquentielle, d’ensemble et d’intégration, de la motivation, de la poussée et de la volonté.

selon Kalinowsky, 1973: dégradation du souci de soi et de l’environnement.

selon Hansen & al., 1982; évanescence de l’émotionalité, mécanicisation, aplatissement du contact avec les autres.

Le parkinson est un effet direct du blocage domaminergique du striatum et de la substance noire. La maladie est apparue curieusement en même temps que l’usage généralisé de substances dopaminoactives, il est possible que les parkinsons soient induits par l’usage de neuroleptiques.

symptômes
premiers
angoisses

agitation

désespoir et dépression

dystonicité

parkinson, entraînant du désespoir

akathisie, entraînant de l’angoisse et de la psychose

dysphorie, dépression et °°°°°°°

tardifs, pas de récupération après l’arrêt du traitement:
dyskinésie tardive (TD, mouvements involontaires de la face, tics, contorsions, tremblements, symptôme qui peut être masqué par un usage continu de la drogue)

dystonie tardive (spasmes douloureux, tête, cou, colonne vertébrale)

akathisie tardive (tension exigeant une activité incessante)

parkinson

syndrome malin neuroleptique (NMS) = phénomène dystonique analogue à hystérie, tétanos, encéphalite, ou trouble neurologique grave

dommages définitifs
déficits cognitifs (incluant le déni des troubles = anosognosie)

dysmentie tardive: humeur instable, parole sonore, recherche de proximité en parlant

démence (dementia)

dépression et psychose (pires qu’avant traitement, masqués par utilisation continue de la drogue)

dysfonctionnement cérébral généralisé

Les détériorations du cerveau, sur jusqu’à 50% des cas humains ou animaux, sont visibles au CT, MRI ou PET scans, ou par autopsie.

Il y a destruction des neurones: suppression de l’activité des neurones dopaminergiques, pertes métaboliques dans les cellules (inhibition des réactions enzymatiques dans les mitochondries, anomalies structurales dans les mitochondries, défauts dans le cytoplasme et mort de la cellule).

Noter que l’on n’observe aucune corrélation entre schizophrénie et dommage cérébraux pour des sujets n’ayant pas absorbés de neuroleptiques.

effets secondaires
La plupart des effets secondaires des neuroleptiques sont dûs à l’effet anticholonergique associé (inbition du métabolisme de l’ATCH ? effets extra-pyramidaux: tremblements, rigidité, akathisie, dystonie). Ils sont en général traités par un suppresseur du circuit cholinergique (antiparkinsonien).

benztropine (Cogentin)

biperiden (Akineton)

procyclidine (Kemadrin)

trihexyphenidyl (Artane)

produisent à leur tour glaucome, constipation sévère, iléus (occlusion intestinale), a-urination

confusion, syldromes cérébraux organisques, et psychoses, perte de mémoire et de l’apprentissage

Au retrait, on note une hypersensibilité cholinergique, syndrome grippal, agitation émotionnelle.

Sites
La lobotomie préfrontale a été couramment utilisée pendant la guerre pour rendre les prisonniers soumis, elle est encore largement utilisée dans tous les pays industrialisés [y compris la France]. L’effet obtenu est le même avec la cingulotomie, l’amygdalotomie et la thalamothomie [tous éléments du système limbique, impliqué dans la motivation émotionnelle et le lien avec le système projet -sensori-moteur].

L’effet recherché est le blocage des récepteurs dopaminergiques dans les ganglions de la base (basal ganglia): striatum, noyau caudé, putamen; le dommage et la dégénérescence des neurones pigmentés de la substance noire (substantia nigra) qui produisent normalement la dopamine dans le striatum où ils agissent sur les récepteurs domaminergiques. La clozapine agit plus dans le système limbique qu’au niveau du striatum. Les circuits domaminergiques sont essentiellement impliqués dans les circuit entre motivations (hypothalamus, système limbique) et voies motrices (sous-cortical ? cortical).

dyskinesie tardive (TD, apparaît avec délai), démence tardive (dementia), dysmentie tardive (suite de détérioration organique du cerveau, humeur, parler fort, proximité exagérée, euphorie)

rétrécissement et atrophie du cerveau ? démence (étude qui a fait grand bruit dans la presse médicale)

démence tardive

démence franche

hypoactivité du lobe frontal et du cortex frontal

Retrait
L’arrêt de la médication empire l’état de détérioration mentale, les tensions et l’angoisse (utilisé comme preuve que la drogue fait du bien).

Avec les produits qui ont des effets cholinergiques puissants, on a un syndrome de retrait cholinergique, de type grippal avec bouleversement émotionnel, insomnie, nausée, vomissements, diarrhée, anorexie et douleurs musculaires. Il y a aussi augmentation notable de la dyskinésie.

Utilisation
Diminuer les facultés mentales, mémoire et apprentissage, ce qui offre de multiples intérêts politiques. Les neuroleptiques ont été considérés comme toxiques dès leur entrée en service et décrits comme stupéfiants (années 60).

En gériatrie: suppression des patients de maison de repos (effets pire pour les vieux), pour diminuer les coûts de personnel. En hôpital psychiatrique, dévitalisation ou suppression des patients difficiles, dans les psychoprisons pour le contrôle de dissidents politiques, dans les prisons, ou pour empêcher les patients de fuir l’hôpital, de se défendre contre les traitements, ou pour les empêcher de se défendre dans les procès contre la médecine. Contrôle des patients difficiles dans les instituts de déficients psychomoteurs (empêche les récupérations de l’apprentissage). Contrôle des comportements ou suppression des enfants gênants dans les hôpitaux.

On les utilise pour étouffer les réactions émotionnelles des animaux. Il a été démontré que les neuroleptiques produisent une diminution de l’activité spontanée et une indifférence émotionnelle chez tous les nanimaux y compris l’homme (Slikker, Brocco & Killam, 1976).

Circuits sérotoninergiques: antidépresseurs (1970)

Classes
tricycliques
IMAO (MAOI, 1970)
augmentent le taux de norépinéphrine dans le SNC

IRSS (SSRI, 1980)
sérotoninergiques

seconde génération
IRS (SRI)
(inhibiteurs non sélectifs de la recapture de la sérotonine, de la norépinéphrine, et aussi de la dopamine) comme la venlafaxine (Effexor)

On envisage aujourd’hui d’injecter directement chirurgicalement de la sérotonine dans les sites vitaux du SNC sur la base de «corriger les déséquilibres cérébraux qui créent des comportements indésirables».

IRSS (SSRI) (inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine)
citolopram (Seropram)

fluoxetine (Prozac)

fluvoxamine (Floxyfra)

fluvoxamine (Luvox), traitement des désordres obsessifs-compulsifs

paroxetine (Deroxat, Paxil)

sertraline (Zoloft)

Fonctionnement
1-noie les fentes synaptiques de sérotonine par inhibition de la recapture de celle-ci; accroît l’activité du neurone postsynaptique. [Du fait du principe de Le Chatelier (Henry)], le cerveau tente de résister à cet effet en inhibant les circuits produisant la sérotonine, résultant en un nouveau pseudo-équilibre imprévisible, induisant dépression, °°°°°°°, ou crises de violence.

2-pour tenter de compenser la perte d’équilibre des circuits sérotoninergiques et l’excès de sérotonine dans les synapses, le «cerveau» (sic, ou le psychisme?) induit une réduction des récepteurs de sérotonine des divers types pouvant aller jusqu’à 60% ou plus, avec parfois augmentation de leur nombre dans certains circuits. On ne sait pas si cette perte des récepteurs est réversible ou non à l’arrêt de la drogue.

Effets
principaux
principalement stimulants, similaires à ceux des amphétamines, aggravant les symptômes de la dépression:

psychiatriques et neurologiques
agitation

angoisse

rêves anormaux

maux de tête

tremblements

nervosité

insomnie

hypomanie et manie

crise (type épilepsie)

digestifs
perte de poids

nausée, douleurs abdominales, vomissements

diarrhée

bouche sèche

anorexie

dyspepsie

peau et muscles
transpiration anormale

torticolis

comportement
émoussement et neutralisation de toutes les sensations

hyperactivité

troubles paranoides

hostilité

violence

°°°°°°°

dépression psychotique (effondrement)

hallucinations

psychose (au sens de symptômes psychotiques)

repli et toxicomanie

effets secondaires
Diminution des facultés mentales, mémorisation, apprentissage, raisonnement abstrait, temps de réaction, mémoire à court terme et à long terme.

syndromes
akathisie (agitation + hyperactivité) ? psychose, violence ou °°°°°°°

dystonie ? spasmes dans la région cervicale, orale ou oculaire, voire dans tout le corps

parkinson ? abaissement émotionnel et immobilisation du corps

syndrome sérotoninergique (avec IMAO ou tryptophane)

inductions
Les ssris induisent une suppression de la transmission dopaminergique (connu depuis 79), tout comme les neuroleptiques, induisant de ce fait un taux élevé de dyskinésie, de dysfonction cognitive et de démence irréversibles.

La RDA impose la mention «risque de °°°°°°°» sur les emballages.

Sites
voies sérotoninergiques

voies dopaminergiques (septum ? lobe frontal)

Combinaisons
avec IMAO (MAOI)
IMAO et tryptophane (un acide aminé) ? syndrome sérotoninergique, hyperstimulation grave: euphorie, hypomanie, agitation, confusion, dérèglements gastrointestinaux, fièvre et refroidisements, décoordination grave, spasmes, et hyperactivité réflexe.

avec tricycliques
extrêmement dangereux: accroît le taux de tricycliques dans le sang par un facteur 10 ? dysrythmie cardiaque pouvant être fatale, grave perte de pression sartérielle, dépression du système nerveux central, crise épileptiforme. Aussi: confusion panique, réactions mentales anormales, manie et dépression.

Retrait
Par suite de la baisse du nombre des récepteurs de sérotonine, l’arrêt de la drogue laisse une déficience des circuits sérotoninergiques, pouvant provoquer un “crash” (effondrement violent) avec dépression grave et tentative de °°°°°°°. On a rapporté des fatigues, vertiges, chutes et syncopes.

Il y a des rapports sur les effets d’addiction (tolérance, dépendance, incapacité d’affronter le retrait) et de toxicomanie.

De la même façon, la destruction des circuits dopaminergiques peut provoquer les mêmes effets de retrait que les neuroleptiques: empire l’état de détérioration mentale, les tensions et l’angoisse, augmentation de la dyskinésie et du parkinson.

Utilisation

Tricycliques (1970)
Fonctionnement
Mal connu, produit une dysfonction mentale généralisée et empêche l’usage de réactions psychiques, émotionnelles ou socio-spirituelles.

Classes
amitriptyline (Laroxyl, Elavil)

amoxapine (Defanyl, Asendin) se transforme en neuroleptique dans le corps avec les mêmes effets.

clomipramine (Anafranyl)

chlorpromarzine (Thorazine, neuroleptique) noyau identique aux phenothiazines

desipramine (Perfotran, Pertofane, Norpramin,,,,,)

dosulepine (Prothiaden)

doxepine (Quitaxon, Sinequan, Adapin, )

imipramine (Tofranil, Imavate, Presamine, SK-Pramine, Janimine, )

maprotiline (Ludiomyl)

nortriptyline (Motival, Aventyl, Pamelor, )

protriptyline (Vivactil)

quinupramine (Kinupril)

trimipramine (Surmontil)

Effets
principaux
Dépression de l’activité motrice.

Difficultés de concentration et de penser, diminution de l’idéation, tristesse (dullness) de la perception. Handicap des processus cognitifs et affectifs.

N’enraye pas les tentatives de °°°°°°°, contrairement aux prétentions des cliniciens.

Sédation, émoussement des émotions, stimulation.

manie induite par la drogue
Induction de manie par la prise de drogue ou au retrait. Dépasse 2 à 3% dans les tests de courte durée (4-6 semaines).

Manie et hypomanie, comportements dangereux, accidents, suicides et violence, parfois meurtrière sur les autres. Peut se développer en moins de 24 heures.

Les effets d’euphorie ou de manie induisent ou augmentent le déni de l’effet toxique du produit.

effets secondaires
Cause un syndrome organique cérébral créant une apathie émotionnelle, qui est l’effet recherché (analogue aux électrochocs). Oubli, agitation, pensées illogiques, désorientation, accroissement de l’insomnie, hallucinations. En général le produit est administré jusqu’à ce qu’il produise des réactions toxiques, sur des recommendations d’aller jusqu’à la confusion mentale ou des signes analogues aux effets d’amphétamines. La dose la plus forte tolérée par le patient est recommandée dans les cours et les livres de spécialistes.

Augmentation fréquente de la dépression [par levée de refoulement ou perception du handicap, malgré l’effet sédatif].

Fréquentes inductions de °°°°°°°. Les tricycliques sont en première ligne des produits utilisés pour des tentatives de °°°°°°°.

On observe des arrêts cardiaques avec des ingestions aussi faibles qu’une semaine de traitement.

syndromes
Peuvent provoquer un syndrome toxique identique à celui produit par les neuroleptiques: faiblesse, fatiguabilité, nervosité, maux de tête, agitation, vertiges, tremblements, ataxie, presthésie, dysarthrie, nystagmus et tics. Crises épileptiformes.

Sites
Inconnus.

Combinaisons
Peut être létal en combinaison avec d’autres dépressants du SNC: alcool, neuroleptiques, lithium, hypnotiques. Arythmies cardiaques et apnées.

Retrait
Rebond cholinergique avec des symptômes analogues à la grippe: anorexie, nausées et vomissements, diarrhée, myalgie, maux de tête, fatigue, insomnies, cauchemars. Symptômes cardiovasculaires (arythmie, ectopie ventriculaire). Décompensations psychotiques, hypomanies et manies, angoisses aigues.

Plusiseurs jours jusqu’à deux semaines, parfois jusqu’à deux mois ou même permanents.

IMAOs (1970)
Analogues de l’acide nicotinique utilisé pour activer les patients affectés de tuberculose. Inhibiteurs de la monoamineoxydase (1940).

iprionazide (Marsilid) retiré de la vente

isocarboxazide (Marplan)

moclobemide (Moclamine)

phenelzine (Nardil)

selegiline (Eldepryl) pour le traitement du parkinson

tolaxatone (Humoryl)

tranylcypromine (Parnate) cause hypertention et attaques, maintenu sur le marché par lobbying de la firme et de l’APA (1963).

Produits considérés extrêmement toxiques dès leur apparition (années 60), ils ont été plus ou moins écartés, mais reviennent en vogue comme partie du nouveau forçage actuel de la psychiatrie biologique. [retour en force de l’idéologie biologique de l’homme, notamment avec les études sur le cerveau et les gènes; impuissance de plus en plus grande de la psychiatrie du fait de la nouvelle idée de traitement des patients qui aboutit à des échecs]

Fonctionnement
Accroissent le niveau de norépinéphrine dans le SNC.

Effets
Désordres du SNC: sursauts myocloniques, neuropathie périphérale, paresthésie.

Insomnie, agitation, angoisses, et dans de rares cas, sédation.

Syndromes organiques cérébraux et psychoses maniaques.

Les praticiens utilisent fréquemment des sédatifs pour tenter d’enrayer les effets primaires, ce qui aggrave les effets secondaires.

Combinaison
Crises de surstimulation hypertensives, conduisant à des détériorations du SNC et jusqu’à des attaques cardiaques, par combinaison avec:

des psychostimulants, amphétamines, dopamine, ephedrine, isoproterenol, metaraminol, epinephrine, phenylepherine, methylphenidate, phenylpropanolamine, pseudoephedrine (souvent utilisés pour traiter les refroidissements [rhumes] et l’asthme)

d’autres antidépresseurs, tricycliques, SSRIs, buproprion, tryptophane

demerol, L-dopa (? troubles du SNC)

des aliments qui contiennent de la tyramine (foie de bœuf ou de poulet, saucisses fermentées, caviar, fèves, levure, alcool, etc. (crises hypertensives))

Antidépresseurs atypiques
SRIs
amineptine (Survector)

buproprion (Wellbutrin) agitation, taux élevé de crises épileptiformes.

ioxazine (Vivalan)

medifoxamine (Cledial)

mianserine (Mianserine, Athymil)

milnacipran (Ixel)

nefazodone (Serzone) produit de la somnolence, confusion, irréalisme, perte de mémoire, et hypotension. Hostilité, paranoia, tentative de °°°°°°°, dépersonalisation et hallucinations.

oxafloxane (Conflictan)

tianeptine (Stablon)

trazodone (Desyrel) sédation, vertiges, syncopes.

venlafaxine (Effexor) profil analogue aux SSRIs. Peut produire de l’hypertentsion.

Utilisation
Presque tous les antidépresseurs, y compris SSRIs et tricycliques ont des effets stimulants analogues aux amphétamines: dextroamphétamine (Dexedrine, ), methylphenidate (Ritaline, Ritalin) et pemoline (Cylert). La FDA a retiré ces produits de la vente.

Évidence scientifique?
Le fait qu’il faille attendre plusieurs semaines pour obtenir un effet tend plutôt à montrer un effet placebo [intérêt que l’on porte au patient] qu’une réelle action chimique. Même pour une dépression sérieuse, le taux moyen de rémission spontanée est supérieur à 50% en trois mois sans traitement. Le taux moyen avant l’ère des psychotropes était de 44% la première année, 56% sur deux ans ou plus. Les études placebo en double aveugle n’indique pas d’effet positif pour les antidépresseurs.

Lithum et autres régulateurs d’humeur

Lithium (1949)
Réputation de n’avoir aucun effet sur les facultés mentales ni sur les facultés affectives ni sur le commportement, n’enlevant que les symptomes indésirables (1970).

Aucune étude globale sur des primates n’a été faite avant la commercialisation en masse, probablement dû au fait que les études sur les animaux produisent des résultats très négatifs.

Effets
principaux
Deux heures après l’ingestion, l’animal devient léthargique et sans réactions aux stimuli pendant quelques heures avant de revenir à la normale. Perte de l’action volontaire et de l’agressivité normale, mettant en évidence l’effet lobotomique qui a fait le succès instantané de la drogue.

Effet de camisole: faiblesse du tonus musculaire, lourdeur, nécessité de surmonter une résistance pour se mouvoir, effort mental pour exécuter n’importe quelle tâche (à dose thérapeutique sur 1 à 3 semaines sur des cliniciens tentant de minimiser les résultats).

Irritabilité, labilité émotionnelle.

Hypersensibilité aux sons et aux scènes familières, diminution de la réponse aux stimuli. Dullness.

Indifférence et malaise général, de distance avec l’environnement, comme séparé par une vitre, sensation d’être profondément modifié, perte d’intérêt pour la vie [autisme induit].

Difficultés d’intégrer plus d’une notion en même temps au cours d’une activité sociale. Diminution de l’initiative intellectuelle, concentration et mémorisation. Modification de la perception du temps.

Empêchement de travailler et d’apprendre, délire toxique grave au 10ème jour chez un des sujets. L’un d’eux a fui l’étude dans la première semaine avec fatigue musculaire grave, confusion et dépression. Décroissance du bien-être, de nombreuses plaintes de lassitude, léthargie, négativité, dépression, refus des autres, difficultés de concentration, confusion, perte de clarté de pensée (chez 11 sujets jeunes volontaires, puis 42 volontaires normaux dans cette étude, contrairement aux études de certification habituelles, ces changements témoignés passaient inobservés par les soignants, mais étaient parfaitement rapportés par les amis, relations et familles).

Baisse intellectuelle, perte de mémorisation, baisse de rapidité motrice des mains.

Interférence avec la créativité des auteurs et artistes. Baisse d’excitaiton dans les discussion et les débats. Vie plate et décolorée, «I am curbed!» (je suis rétréci).

Même effet sur des patients psychiatriques que sur les volontaires. Baisse de volume de leur “intensité de vie”. Largement identique à l’effet des neuroleptiques. Même recherche de lobotomie chimique.

secondaires
Nausée, diarrhée, trremblement des mains.

Même à faible dosage de routine (6 mois à 7 ans), on observe du parkinson et des troubles neurologiques. Quelques effets extrapyramidaux sont notés.

Ondes cérébrales anormales, confirme l’intoxication, tant chez les volontaires que chez les patients psychiatriques. Il a même été proposé de corréler le lithium des eaux pluviales et de distribution avec les incidences de maladies mentales! Une politique de régulation globale des humeurs par le lithium dans l’eau de ville aurait été envisagée, comme pour la politique du fluor dans l’eau [également un poison violent du corps].

syndrome
Nombreux cas de délire toxique induit par les thérapies au lithium.

En tant qu’anti-manie, le lithium ne performe pas mieux que les neuroleptiques ou le placebo, environ 50% de rechute d’épisodes maniaques sur 2 ans, 73% sur 5 ans.

Fonctionnement
Perturbe tous événements médiatisés par les cations monovalents, Na+, K+, i.E. toutes les fonctions de neurotransmission, divers métabolismes membranaires.

Sites
Pas de sites spécifiques

Diminution non-spécifique de toute l’activité nerveuse.

Types
sels de lithium
carbonate de lithium (Teraluthe)

gluconate de lithium (Neurolithium)

autres
carbamazepine (Tegretol)

valpromide (Depamide)

Combinaison
Avec neuroleptiques, surtout haloperidol (Haldol) et risperidone, augmentation de la possibilité d’encéphalites irreversibles.

Avec électrochocs, augmentation des syndromes cérébraux, avec délires.

Réactivation de la dyskinésie tardive (TD) avec le traitement.

Tous les antidépresseurs ajoutés peuvent augmenter l’effet maniaque.

Haldol et Proxilin sont souvent ajoutés pour enforcer les effets du carbonate de lithium.

L’acide valproic et le divalproec sodium (Depakene, Depakote), utilisés contre les crises d’épilepsie sont données généralement en doses massives pour tenter d’étouffer les “excès”. Elles sont hépatotoxique, particulièrement chez les enfants. Sédation, tremblements, ataxie.

Carbamazepine (Tegretol), anticonvulsant, antitics, est proche des tricycliques. Sédation, confusion, termblements, psychose, troubles de mémoire.

Clonazepam (Klonopin, ), benzodiazepine antianxieux, sédation, rebond et symptômes de retrait, addiction, anormalités de comportement.

Verapamil (Calan, ), bloqueur des canaux du Ca++, utilisé pour le traitement des troubles cardiaques.

Clonidine, antihypertension, retrait peut produire un rebond hypertensif. Sédation, cauchemars, insomnie, agitation, angoisse, dépression, hallucinations.

Retrait
Peut produire des épisodes maniaques.

Démence induite et autres détériorations neurologiques graves.

Cas de dialyse antitoxique du lithium: peuvent tomber en démence.

Séquelles persistantes chez 30% des patients examinés.

Antianxieux = anxiolytiques et tranquilisants mineurs (1957)

Sédatifs, hypnotiques, bensodiazépines
Classes
benzodiazépines
alprazolam (Xanax, 6-20) grande aptitude à se lier aux récepteurs

bromazepam (Lexomil, 20)

chlordiazepocxide (Librium, 30-100)

clonazepam (Klonipin, 18-50) hypnotique

clotiazepam (Veratran, 5)

clorazepate (Tranxène, 30-100-200)

diazepam (Valium, Novazepam, 30-100)

estazolam (Nuctalon, ProSom, 10-24) hypnotique

flunitrazepam (Rohypnol, 19) hypnotique

flurazepam (Dalmane, 50-160) hypnotique

lorazepam (Temesta, Ativan, 10-20)

midazolam (Vezrsed, 2-3)

nitrazepam (Mogadon, 17) hypnotique

nordazepam (Nordaz, 65)

oxazepam (Veratran, Serax, 3-21)

prazepam (Lysanxia, 65)

quazepam (Doral, 50-160) hypnotique

temazepam (Normisson, Restoril, 8-20) hypnotique

triazolam (Halcion, 1.5-5) grande aptitude à se lier aux récepteurs

Les BZDs utilisées comme hypnotiques, pour réguler le sommeil, ont exactement les mêmes propriétés, la distinction est purement commerciale; le temps de demi-vie permet d’évaluer les effets du lendemain.

tranquillisants
carbamates
méprobamate (Equanil, Meprobamate, Novalm, Miltown)

azaspirodecanediones
buspirone (Buspar, BuSpar, 6)

anithistaminiques
hydroxyzine (Atarax, Vistaril, 7)

barbituriques
secobarbital (Seconal)

phenobarbital (Luminal)

butobarbital (Butobarbital, Butibel)

amobarbital (Amytal)

pentobarbital (Nembutal)

somnifères
gluthetimide

methyprylon

ethchlorvynol

hydrate de chloral

zopiclone (Imovane)

zolpidem (Stilnox, Ivadal)

phénothiazine
doxylamine (Donormyl, 24)

niaprazine (Nopron, 24)

alimeùazine (Théralène, 4)

acéprometazine (Mépronizine (avec meprobamate), Noctran (avec acepromazine+chlorazepate))

Effets
principaux
sédation et sommeil, indistinguables d’un effet toxique

dysfonction cognitive: perte de la mémoire à court terme ? confusion ? délire

désinhibition: agitation extrême, psychose, paranoia, dépression, parfois violence

symptômes de retrait et de rebond

habituation et addiction: dépendance, tolérance, mises en scènes pour obtenir de plus large doses; analogue à l’alcool

réactions contraires
Les principes de détérioration du SNC et les effets néfastes des BZs sont indiqués dans tous les livres de cours et les revues scientifiques depuis 1970. Elles semblent plus fortes avec les BZs à courte vie.

désorientation

confusion

perte de libido

délire

intolérance à la frustration

hostilité

rage aigüe

assauts

vol

cauchemars

angoisses, tachycardie, transpiration [symptômes de la panique]

euphorie

agitation

hallucination

hypomanie

paranoia

aggravation de la dépression

autoagression, automutilation

°°°°°°°

produisent une anesthésie émotionnelle

Les rebonds le lendemain ou surlendemain d’arrêt d’Halcion ou Xanax sont très violents.

[Les paranoias régulièrement retrouvées dans ces protocoles peuvent être en fait l’expression des comportements du personnel et des agressions chimiques.]

Les effets de panique et de violence commencent environ 10 jours après le début du traitement, et 1 à 2 jours après l’arrêt [doit dépendre de la demi vie du produit].

décroissance de l’activité ?

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Laboratoire Servier : une secte dangereuse !

l’émission envoyé spécial du 5 mai 2011 est a voir ici :

http://envoye-special.france2.fr/les-reportages-en-video/l’affaire-du-mediator-5-mai-2011-3407.html

Des médecins qui reçoivent des menaces, une malade dissuadée de faire un procès, un autre médecin qui fait face aux pressions du laboratoire Servier alors qu’il signale un cas grave dû au Médiator, un laboratoire qui emploie de curieuses méthodes de recrutement…

En la reprenant à sa source, l’affaire du Médiator a des allures d’intrigue de série noire, avec petites couronnes mortuaires déposées devant un domicile, mains invisibles qui édulcorent les documents sensibles, des médecins très liés aux laboratoires et aussi, au nom de l’emploi, des gouvernements successifs très compréhensifs envers l’industrie pharmaceutique. Le tout donne une crise de confiance envers tous les médicaments…

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Ils nous tuent lentement avec leurs médicaments

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syndrome sérotoninergique (serotonin syndrome)« potentiellement mortel »

 
Dr. Ann Blake Tracy
plus de 85% des médecins n’étaient «Pas au courant de la sérotonine Comme un syndrome clinique de diagnostic
l’augmentation alarmante de patients se présentant Dans les salles d’urgence de l’Hôpital avec le syndrome sérotoninergique, UNE forme Potentiellement mortelle de la drogue déclenchée par l’empoisonnement par des antidépresseurs
Paxil médicale et assistance juridique
La mort est survenue par arrêt cardiorespiratoire ou déficience rénale
Lorsqu’il est appliqué à la population assurée aux États-Unis, on peut éstimer que cela representent près de 200.000 Américains pour l’année 2001
Syndrome sérotoninergique très grave et Potentiellement mortelle
Par exemple, Le syndrome sérotoninergique mai se produire si vous prenez un antidépresseur avec un médicaments contre la migraine
« La FDA un Émis déjà un avis et une Alerte Que quand les triptans Sont Utilisés en combinaison avec les ISRS, Il YA Une Possibilité de syndrome sérotoninergique…
Le syndrome sérotoninergique est une réaction potentielement mortel à un médicament
Le syndrome sérotoninergique est un état toxique. Principalement causée par excès de sérotonine Dans le système nerveux central
beaucoup d’autres médicaments (par exemple, les amphétamines, les inhibiteurs de la monoamine-oxydase [IMAO], le TCAS, le lithium)
Wikipedia
Le syndrome de sérotonine, une complication iatrogenique potentiellement mortelle de thérapie psychopharmacologic, le plus généralement est rapporté avec des combinaisons des médicaments serotonergique
La Honte !
Complication potentielle mortelle liée à des médicaments
D’après certains auteurs, les cas de syndrome sérotoninergique sont largement sous estimés
Toutefois, son existence en tant qu’entité nosologique est encore parfois contestée, de même que sa relation au syndrome malin des neuroleptiques (SMN).
En France, l’association tramadol-IMAO non sélectifs ou sélectifs (Moclamideâ , Humorylâ , Deprenylâ ) est contre indiquée
Hyperactivité, myoclonies, oscillations oculaires, tremblements, sueurs, frissons, hyperthermie, désorientation, parfois mydriase, anxiété.
Survenue rapide des symptômes.
Substances impliquées isolément ou en association : Bromocryptine, Buspirone, Cocaïne, Dihydroergotamine, Ecstasy et apparentés, Fenfluramine, antidépresseurs IMAO, antidépresseurs IRS, Lithium, L-dopa, LSD et hallucinogènes indoliques, Pentazocine, Péthidine, Sumatriptan et apparentés, Tramadol, Tryptophane…
On peut voir une augmentation des CPK, une tachycardie, une hypertension modérée, une tachypnée, une sialorrhée, des hallucinations, mais ces signes ne sont pas spécifiques et peuvent être vus dans le syndrome malin des neuroleptiques.
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justice

la Fédération des médecins de France (FMF) annonçait à l’AFP son intention de porter plainte contre l’Afssaps
le rapport épingle l’Afssaps qui « semble avoir redécouvert tardivement des travaux publiés pourtant dès les années 1970 » sur le Mediator
Dès 1977, la revue médicale « Pratiques » dénonçait l’escroquerie sur la nature du Mediator. Comment Servier pouvait-il ignorer ce que des médecins écrivaient déjà noir sur blanc ? Par Anne Crignon. Exclusif. Mediator : la preuve des mensonges de Servier
Un cadre de chez Servier est aussi trésorier de la Société française de Pharmacologie et de Thérapeutique, une responsable du labo préside celle de toxicologie. Son mari, Jean-Roger Claude, toxicologue réputé, employé lui aussi chez Servier comme consultant depuis 1972, est l’un des piliers de l’Afssaps, membre inamovible de la commission d’autorisation de mise sur le marché. « Tout le monde connaît mes conflits d’intérêts« , explique sereinement le professeur. « Ça ne m’empêche pas d’être objectif bien au contraire. »
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quelques adresses extraites du blog justice, médecins et médicaments

justice, médecins et médicaments

avocats, condamnations , class action…

dont environ 390 millions de dollars pour des suicides ou des tentatives de suicide qui serait lié à la drogue
GlaxoSmithKline a conclu un règlement à plus de 700 des 4.000 procès, alléguant que son médicament contre le diabète Avandia provoqué des crises cardiaques et accidents vasculaires cérébraux chez certains patients
Le groupe pharmaceutique AstraZeneca PLC (AZN.LN) a annoncé lundi qu’il avait conclu un règlement pour environ $ 198 000 000 sur 17.500 réclamations en responsabilité de produit sur son antipsychotique Seroquel aux États-Unis
 es neuroleptiques atypiques comme le Zyprexa tuent quelques 62000 personnes par an dans des utilisations non approuvées
Une association regroupant plus de 150 000 personnes, se disant victimes de l’Isoméride, a obtenu un accord amiable pour un montant de 3, 75 milliards de dollars (2,78 milliards d’euros)
Le tribunal de Nanterre a condamné le laboratoire UCB Pharma à verser plus de deux millions d’euros de dommages et intérêts à la famille d’un enfant né grand prématuré, estimant que son handicap était lié à l’exposition de sa mère au Distilbène
Ce dernier, sous Deroxat, a tué sa femme, sa fille et sa petite-fille avant de se suicider.Le jury estime que l’antidépresseur est responsable à 80% de cet acte et que la mise en garde est insuffisante.
En juin 2001, un jury au Wyoming a déterminé que la drogue déroxat /Paxil d’antidépresseur a fait tuer un homme son épouse, fille et petite-fille avant le massacre lui-même.
Déjà 1,1 milliard de dollars ont été dépensés pour régler près de 3000 cas à l’amiable
Le 14 Janvier 2008, le New York Times a rapporté que d’un essai clinique de Zetia visant à démontrer que le médicament pourrait réduire la croissance des plaques de dépôts gras dans les artères plutôt montré une croissance de plaques
138.000 crises cardiaques et 55.000 décès estimés rien qu’aux Etats-Unis…
Un juge du comté de Madison a approuvé un règlement $63.8 millions dans un procès de classe-action contre GlaxoSmithKline, les fabricants de deroxat / Paxil, qui ont réclamé la compagnie ont favorisé la drogue pour l’usage chez les enfants
Combien avez les demandeurs reçoivent? “Le montant dépasse l’entendement», dit Louisville avocat Cecil Blye
accusations criminelles de fraude pour la promotion et la commercialisation illégale de Neurontin par son prédécesseur, Warner-Lambert. Pfizer a accepté de payer 430 millions de dollars en règlement
Elle a plus tard poursuivi le fabricant Upjohn pour $21 millions. Upjohn a trouvé au civil un accord à l’amiable
La Société un accepté de payer 690 millions de dollars, mais une nié toute malversation
Sur une fusillade, tuant sa famille et puis, se retournant Une arme sur lui-même après la prise de médicaments antidépresseurs Paxil
Elle a poursuivi le médecin pour faute professionnelle médicale et A reçu 6 millions de
Un jury de la Pennsylvanie une conclusion que Paxil est Blamer A pour les malformations congénitales dont souffre actuellement un garçon de 3 ans et lui a attribué et a sa famille 2,5 millions de dollars.
Dans les 38 procès-comte, Helms cherche un arrêt de plus de 1,9 millions de dollars
amende de 2,5 millions de dollars. Motif: quatre études sur le lien entre son antidépresseur Deroxat et les pensées et gestes suicidaires chez les adolescents auraient été cachées aux médecins.
Les demandeurs soutiennent que Rumsfeld a utilisé son pouvoir politique afin d’obtenir que l’aspartame soit approuvé par la FDA en dépit des objections des chercheurs en santé de la FDA et de nombreuses études négatives
«l’industrie pharmaceutique ne doit pas être autorisée à bénéficier de pratique criminelle telle que celle de Serono qui met l’intérêt des patients au second plan derrière le profit
l’organe de contrôle américain, la FDA (Food and Drug Administration) exige le retrait des médicaments antiobésité baptisés Pondimin et Redux. Ils provoquent de l’hypertension pulmonaire
Bayer retire son médicament anticholestérol: il provoque une destruction musculaire mortelle. Le premier décès attribué à ce produit date de 1998 en Allemagne
Le laboratoire Pfizer indemnise les victimes d’essais médicaux au Nigeria
Amende record pour le laboratoire américain Pfizer
il est licite de soulever l’hypothèse du rôle de la vaccination dans le déclenchement d’une réponse immunitaire indésirable du type de la SEP
dossier antidepressantsfacts
“escroquerie” de Sanofi-Aventis : alors qu’il est toujours soumis au contrôle de la justice suite aux fraudes précédentes, soldées par 190 millions, puis par 22,7 millions de dollars d’amende
Selon les procureurs, Eli Lilly a engagé une armée de milliers de représentants des ventes dans la commercialisation illégale et généralisée
“De 2004 à 2009, Pfizer, Eli Lilly, Bristol-Myers Squibb et quatre autres compagnies ont ainsi déboursé plus de sept milliards en amendes et pénalités de toutes sortes.” (assurance maladie : on vous assure la maladie à vie !)Trovan : Pfizer paiera 75 millions de dollars de compensation
Selon l’accord, Pfizer s’engage à verser une indemnisation de 75 millions de dollars aux victimes
Le groupe pharmaceutique américain Pfizer a annoncé vendredi un accord de principe pour résoudre la quasi-totalité des contentieux liés à ses anti-inflammatoires Bextra et Celebrex, suspectés d’augmenter les risques d’accidents cardiaques
à une patiente se plaignant de graves problèmes cardiaques après avoir pris de l’Isoméride, un coupe-faim retiré de la vente en 1997. La patiente avait également été traitée avec le Mediator, un autre médicament commercialisé par Servier et également retir
antibiotique Avelox (quinolone) : $203,614 pour douleurs et souffrances
” rupture du tendon : On m’a prescrit Avelox pour une infection des sinus
Dans le cadre d’un règlement à l’amiable, le laboratoire français Servier versera jusqu’à 40 M$CA (25 M € ), dans le recours collectif engagé au Canada
8.000 procès en cours, y compris les cas dans lesquels des personnes sont mortes de coma diabétique aiguë ou d’une pancréatite
le juge a infligé une amende de Marcelo Aguinsky GlaxoSmithKline 400 000 pesos argentins [environ £ 60 000], pour sa part dans les essais de vaccins 2007/08 menée en Argentine où 14 enfants sont morts
Roaccutane : Roche a promis un million de dollars à un père de famille américain  s’il retirait sa plainte , suite au suicide de son fils de 20 ans . 
Ce que ce monsieur a refusé
GlaxoSmithKline s’est engagée à verser plus de 250 millions de dollars pour résoudre environ 5.500 réclamations liées à son médicament contre le diabète Avandia
« Il est plus difficile de sevré les personnes des benzodiazepines que de l’héroïne. » professeur m Lader (1999)
 » les médecins sont malhonnêtes, corrompus, immoraux, malades, peu éduqués et carrément plus stupides que le reste de la société. Lorsque je m’apprête à rencontrer un médecin, je me vois devant une personne bornée… »
« Considérant les avantages et les risques, nous pensons cette préparation totalement inadapté pour le traitement de la dépression »
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Un nouveau coupe-faim inquiète les médecins

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